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Solidarité africaine pour la démocratie et l'indépendance (SADI), le parti dirigé par le cinéaste Cheick Oumar Sissoko et le Dr Oumar Mariko n’entretient plus le secret de Polichinelle sur sa position, en ce qui concerne la Guinée, qui tranche complètement avec celle généralement évoquées. SADI soutient l’équipe du Capitaine Moussa Dadis Camara.

 

C’est à travers son Secrétaire Général, le Dr Oumar Mariko que les Maliens ont appris la prise de position du Parti Solidarité africaine pour la démocratie et l'indépendance (SADI) qui a accordé une interview au quotidien Le Républicain. « Le parti SADI soutient l’équipe en place en Guinée, condamne les tueries et demande une enquête pour démasquer les responsables de ces massacres afin de les punir conformément à la loi », a déclaré au Républicain le Dr Oumar Mariko qui est aussi l’ancien leader estudiantin qui, en 1991, a pris une part active dans le soulèvement contre le pouvoir du président Moussa Traoré.

 

L’homme politique malien qui a été deux fois candidat à la présidentielle malienne (2002 et 2007) a profité de cette interview pour répliquer à une déclaration du président de l’Assemblée nationale, Dioncounda Traoré, selon lequel, le dialogue n’est plus possible avec Moussa Dadis Camara : « je dois dire que c’est justement avec Dadis qu’il faut discuter. C’est justement avec les forces progressistes guinéennes qu’il faut discuter et qui ne sont pas forcement celles qui prétendent être les forces vives de la Guinée. Nous avons vu tous ces leaders guinéens manger dans la main du dictateur Lassana Conté. Pendant cette époque là, en Guinée, il n’y avait pas d’électricité. En Guinée, à cette époque, les quartiers recevaient le courant à tour de rôle. C’est avec l’arrivée de Dadis que cela a changé », a déclaré le Dr Oumar Mariko. Il ajoute que c’est « révoltant » que le président de l’Assemblée nationale « enfourche le même cheval que Bernard Kouchner ». Sans prendre de gangs, l’homme politique malien s’interroge sur l’utilité des élections, « si c’est pour vendre le pays au capital étranger ». Selon lui, le battage médiatique actuel sur la Guinée est très douteux : « ils veulent aussi que Dadis rentre dans le syndicat des chefs d’Etat vendus et corrompus d’Afrique. Voilà leur préoccupation et ça va satisfaire la France».

 

Oumar Mariko accuse non seulement la France, mais aussi les certains hommes politiques guinéens, les forces vives. Pour lui, la France a envie d’avoir la main mise sur la Guinée, parce qu’en 1958, ce peuple a dit non. « Le même combat continue. Lassana Conté n’ayant pas suffisamment ouvert les vannes pour la France, aujourd’hui, l’occasion est toute trouvée de chasser Dadis du pouvoir et de mettre des hommes qu’elle va choisir dans l’espoir de prendre les destinées de la Guinée et transformer ce pays en une sucette pour l’économie française. C’est là le sens de ce combat. Cela ne veut pas dire que je n’ai rien à reprocher à Dadis. Je me réserve de dire quoi que ce soit de ce régime guinéen, tant que la France et l’Europe vont continuer à baver sur les pays africains et à faire leur choix entre les dirigeants africains. Ce ne sont pas eux qui doivent choisir nos dirigeants », a déclaré Oumar Mariko.

Source : KOACI

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4e sommet du Cojep/ Rev. Jesse Jackson aux Ivoiriens - “Soyez de la classe royale et votre lignée vaincra le colonialisme”

 

C'est un rêve qui vient de se réaliser pour la jeunesse ivoirienne en particulier et africaine en générale. Le Révérend Jesse Jackson, a parlé aux Ivoiriens hier, au Palais de la culture de Treichville. " Je ne suis pas venu soutenir un candidat. Mais je suis venu endosser un processus. Le processus de la démocratie juste, équitable et ouverte. La démocratie ne garantit pas le succès. Elle ne garantit pas les Usa. Elle garantit les opportunités. Faisons donc bon usage de ces opportunités. Et participons-y avec vigueur. Et lorsque ce processus viendra à bout, respectez le gagnant. Mettez-vous ensemble et allez de l'avant avec espoir et ne revenez pas en arrière, par la peur. Permettez donc que la démocratie soit écoutée aujourd'hui ". C'est en ces mots que la légende vivante de la lutte pour les libertés humaines, a commencé son propos. Exhortant les Ivoiriens à accepter et à respecter les résultats issus des élections du 29 novembre 2009. " Lorsque vous votez dans la transparence, vous assumez votre position. Le pouvoir tient compte du vote. Le pouvoir n'est pas de se tirer sur soi.

Le pouvoir est dans le pardon, dans la rédemption et bien sûr, en allant de l'avant (…). Soyez de la classe royale, dans votre effort interne, dans votre éducation et votre héritage dans votre lignée, vaincra le colonialisme (…). Et le monde se réjouira avec vous", s'est-il humblement permis d'enseigner. Avec la forte conviction que l'espoir est permis. Et qu'à l'instar de l'Amérique, " la Côte d'Ivoire doit s'élever à un point culminant ". " L'Amérique est une grande nation ", a-t-il dit. " Mais nous avons été divisés entre le Sud et le Nord. L'Amérique s'est également engagée dans une guerre violente. Des familles se sont tirées dessus. Et la nation s'est déchirée. Mais cette guerre a pris fin. L'esclavage a connu une fin. La nation a commencé à se guérir de ses blessures. Alors l'Amérique renaissant de ses cendres, est sortie de ses douleurs. Elle est sortie de sa division. Côte d'Ivoire, c'est votre moment de sortir de votre crise. Si vous pouvez faire ceci, faites-le de votre mieux (…). Continuez le combat et continuez le sacrifice. Ne vous laissez pas endormis. Ne baissez pas les bras (…). On tombe un moment et on se relève encore, encore et encore. Parce que rien n'est trop difficile pour Dieu (...). Un changement arrive. Gardez l'espoir… ".

La figure emblématique de la lutte pour les libertés humaines a rendu gloire à Dieu pour cette grande nation qu'est la Côte d'Ivoire. Avant d'inviter la jeunesse à qui il a dit que l'avenir appartient, à utiliser leur " jeunesse avec sagesse ". Car, " ce que vous faites aujourd'hui, va déterminer le futur ", leur a-t-il conseillé. A l'image de son ancien compagnon de lutte, feu Martin Luther King. De qui, il a dit que " lorsqu'il y a eu le boycott de Montgomery, il avait 26 ans. Mais avant cela, il avait remporté une victoire sur la constitution américaine. A l'âge de 14 ans, il a terminé le collège. A 19 ans, il a fini le Lycée. Il a fini le Séminaire à 22 ans et a eu son Doctorat à 26 ans (…). Il a donc fait bon usage de sa jeunesse, pour devenir un grand leader".

L'adepte de la non-violence n'a pas manqué d'y encourager les Ivoiriens. " Parce que dans la non-violence, vous avez la foi. Vous négociez (…). Mais lorsque cela est fini vous vous saluez, vous ne tuez pas. Parce que la non-violence est la puissance. La violence est la faiblesse, l'incapacité de résoudre les conflits".

 

Frimo K. Djipro

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4e Sommet du Cojep / le chef de l`Etat - “Nous voulons vivre comme un Etat indépendant”

 

Présent au 4e sommet du Cojep, le Président Laurent Gbagbo a profité de l'occasion pour donner le sens de son combat pour son pays. Discours vérité du chef de l'Etat.

 

"…Pour la 4e fois, j'assiste à l'ouverture du Congrès panafricain des jeunes et des patriotes (Cojep). Je suis très fier de cette marque de confiance que les jeunes me font. Car, la jeunesse, c'est l'avenir. Je voudrais donc saluer d'abord le Cojep. Et à travers lui, toute la jeunesse de Côte d'Ivoire et celle d'Afrique. Quand nous avons été bousculés, attaqués spontanément, les jeunes Ivoiriens se sont dressés pour dire non à la guerre. Vous les jeunes d'autres pays africains qui êtes venus, sachez que tous les Ivoiriens ont dit non à la guerre, et que les jeunes ont joué un rôle prépondérant. Sachez que l'avenir que nous préparons, c'est votre vie. Et que si vous ne combattez pas aujourd'hui, pour la vie de demain, vous aurez une vie pour laquelle vous n'avez pas combattu donc une vie mauvaise, une vie morose, une vie qui ne vaut pas la peine d'être vécue. Mais si vous combattez aujourd'hui, pour demain, vous vivrez la vie pour laquelle, vous avez combattues aujourd'hui. Je vous remercie d'être venus de partout, pour assister vos amis de Côte d'Ivoire. En retour, transmettez le message de paix dans vos pays. Transmettez le message de la mobilisation et du combat à tous les jeunes. La paix n'est pas une denrée qu'on trouve gratuitement. C'est une denrée qui se conquiert

Et une fois qu'on la conquiert, on peut en jouir. Dans mon village, on dit que c'est un seul homme qui tue l'éléphant, et tout le monde en mange. C'est un seul qui même le combat et une fois qu'il a réussi, on en jouit. N'ayez pas peur de vous engager dans les combats pour la liberté, dans les combats pour la démocratie, pour la paix.

Jeunes de Côte d'Ivoire et d'ailleurs

Je voudrais vous dire que dans tous les combats, il faut prendre comme allié, le temps. Ce Monsieur (Jesse Jackson : ndlr), qui est assis-là quand il assistait au grand meeting de Martin Luther King où il a prononcé son discours : " j'ai fait un rêve ", jusqu'aujourd'hui, il y a 54 ans. Le temps, c'est un autre nom de Dieu ! Quand tu combats et que tu es impatient, tu ne gagnes rien. Mais quand tu combats et que tu es patient, tu prends le temps comme allié, tu marches, tu marches et tu atteins ton objectif. Avant que je ne prenne la parole, les jeunes voulaient savoir quel était mon secret, parce que je suis serein tout le temps. Quand Jésus était dans la barque avec les apôtres, et que la tempête s'est levée, jésus dormait. Et les apôtres avaient peur. "Seigneur, seigneur, nous coulons". Jésus s'est levé. Il a d'abord parlé au vent lui demandant de se calmer. Et il leur a dit : "Hommes de peu de foi". Moi, je ne suis pas Jésus. Mais j'ai appris ce qu'il nous a enseigné. Ce passage de la Bible veut dire que, quand tu n'es pas serein, et tu trembles devant n'importe quelle hostilité, et bien, tu sombreras avec cette hostilité-là.

Cher frère Jackson,

Merci d'être venu ^parce que cette visite est une visite d'amitié. Il était bon et il est bon que les jeunes Africains voient, de temps en temps, tous les grands de ce monde. Il est bon qu'ils voient tous ceux qui ont marqué la vie de ce monde par leur attitude, par leur combat. Et je remercie Jesse Jackson d'être venu ici, parce que les jeunes Ivoiriens l'ont vu. Ils ont vu que ce n'est pas un mythe et qu'il est un être humain. Et qu'ils peuvent faire aussi ce qu'il a fait.

La Bible dit : il faut que votre oui soit oui. Que votre non, soit non. La vie de l'être humain est là. Elle se mesure dans ces deux phrases. Samory Touré qui a dit ceci est un musulman et la Bible est chrétienne. Les deux disent la même chose. Quand vous êtes en face d'une injustice, inacceptable pour l'être humain, il faut dire non tranquillement. Et plus ce non est tranquille, plus il est effrayant. Si vous vous agitez pour dire non, on regardera votre agitation et on écoutera moins, votre non. Mais quand vous êtes serein et que vous n'allez pas faire ça parce que ce n'est pas bon pour un être humain, alors on écoutera ce que vous dites. Et une fois que vous avez dit non, faites ce qui correspond au non. La Côte a 49 ans d'indépendance.

Révérend Jesse Jackson, tout ce, à quoi nous aspirons, c'est de vivre notre indépendance. C'est tout. Nous voulons vivre comme un Etat indépendant. C'est tout ce que nous demandons. Nous ne demandons rien de plus. Mais nous n'acceptons rien de moins.

Parce que l'indépendance, c'est l'indépendance. On est indépendant ou on fait semblant d'être indépendant. Vous savez, nous devons lutter pour que la paix s'établisse sur la terre, entre tous les hommes, entre tous les Etats. Mais la condition première pour que la paix s'établisse entre tous les Etats, est le respect de tous les Etats indépendants. Si certains pays qui sont indépendants veulent piétiner l'indépendance des autres, il n'y aura pas la paix. Les problèmes des pays africains, comme les pays d'Amérique latine, comme les pays du Sud-est, sont des problèmes d'indépendance. Est-ce qu'on vit comme des Etats indépendants, ou est-ce qu'on vit en faisant semblant d'être indépendant ? Le débat est là. Et le débat qui aura lieu bientôt parmi les candidats à la présidence sera celui-là. On est indépendant ou on fait semblant d'être indépendant ?

Pour moi, mon choix est clair. Je pense que nos pères se sont battus contre les Allemands quand nous étions colonie française. Mon père faisait parti de l'armée française. Il a laissé son sang sur le sol français. Nous, nous sommes battus loyalement pour la patrie qui était la nôtre. Aujourd'hui, indépendant, nous voulons nous battre loyalement pour notre patrie, qui est la Côte d'Ivoire. Et il faut que cela soit compris. Je veux dire aux ivoiriens qu'il y aura toujours des gens qui seront contre l'indépendance de leur pays. Il faut faire deux choses qui sont apparemment contradictoires. Ouvrir les bras à tout le monde à l'intérieur du pays. Tendre la main à tout le monde. Prêcher la réconciliation nationale.

Etre ouvert à tous les courants de pensée. Respecter les individus dans sa pensée, dans sa foi, dans région, dans sa religion. Il faut ouvrir la main à tous les Etats du monde. Discuter avec tout le monde. Mais il faut être vigilant sur tout ce qui peut nuire à notre propre vie, à notre propre indépendance. Et être intransigeant sur cela. C'est pourquoi, je suis content que Jesse Jackson soit là. Il est pasteur. Il prêche l'amour. Mais avant qu'il ne soit pasteur, quand il s'est agi de l'honorabilité et de la liberté de l'homme noir, aux Etats-unis, il n'a pas hésité à rejoindre le Pasteur Luther King, pour mener. Il a risqué sa vie. Parce qu'il était là, au moment où les tueurs ont tué Luther King, 1968. Il aurait pu prendre une balle. Donc il faut comprendre qu'il n' y a pas de combat sans risque. D'ailleurs la vie tourne court et est pleine de risques. Vous sortez pour faire une course, un accident peut survenir. Vous restez dans votre chambre, un accident cardiaque peut survenir. Il ya des risques partout. Mais le risque pour vous rendre immortel, en laissant votre nom sur le fronton de l'édifice, c'est le risque que vous prenez pour la liberté. Cela vous rend immortel. Même après votre vie, on continuera de parler de vous.

Jesse Jackson,

Je suis heureux de vous recevoir. J'ai retardé mon voyage pour venir vous dire que la côte d'Ivoire vous soutient. J'ai le grand privilège de vous recevoir, après vous avoir vu furtivement au Ghana, lors du cinquantenaire de l'indépendance du Ghana. Pour nous, ces moments-là sont des moments importants. Chers frères Ivoiriens indépendants, nous aurons des obstacles sur le chemin. Pour un homme, tomber n'est pas grave, mais c’est comment se relever, qui est important.

Mais les Etats-Unis ont connu la guerre civile. Plus meurtrière que la nôtre, plus difficile avec des enjeux plus importants. Mais les Etats-Unis se sont relevés. Ils marchent, ils marchent, ils marchent.

L'Afrique du sud qui est aujourd'hui, la plus grande puissance en Afrique, a connu un régime abominable, l'apartheid où la ségrégation et l'injustice était codifiées. Aujourd'hui, les sud-africains marchent, marchent et ils marchent. Oui, chers amis, chers frères, notre guerre est finie. Nous avons décidé de mettre fin à la guerre, en tendant la main à ceux qui nous ont fait la guerre. C'est ce qu'on a appelé le dialogue direct. La guerre est finie. L'espoir arrive. L'espoir marche vers nous. Et le 29 novembre, sera le jour d e l'espoir.

Que dieu bénisse la Côte d'Ivoire".

Propos reccueillis par

Frimo K. Djipro

 

Reçu à dîner, lundi, par le chef de l’Etat - Jesse Jackson : “Ce qui est arrivé à la Côte d’Ivoire n’est pas une fatalité”

 

Aussitôt arrivé en fin d’après-midi du lundi en Côte d’Ivoire, le révérend pasteur Jesse Jackson a été reçu à dîner par le président de la République Laurent Gbagbo à sa résidence de Cocody. «Ce n’est pas le moment des discours, notre jeune frère Blé Goudé et son organisation ont invité un grand homme, le révérend pasteur Jesse Jackson. Il était normal que le chef du village lui donne de l’eau. C’est ce que nous avons fait», a justifié le Chef de l’Etat. Il a ensuite salué le grand combattant des libertés qu’est le pasteur Jesse Jackson. «La télévision a passé aujourd’hui même un film retraçant l’histoire de son combat. Je l’ai vu avec beaucoup de cheveux, et des moustaches. En tout cas, je salue le combattant pour les libertés des noirs américains. Certains viennent quand tout marche très bien. Je le salue d’être venu alors que tout ne marche pas encore très bien. Il m’a dit tout à l’heure que c’est biblique. C’est vrai que Jésus a dit qu’il n’est pas venu pour ceux qui se portent bien. Mais pour les malades».

Répondant au chef de l’Etat, le premier américain noir a avoir gagné les primaires au parti démocrate a dit que le fait n’est pas de ne pas tomber. Mais c’est de pouvoir se relever quand on tombe et de continuer à marcher, marcher, toujours marcher jusqu’à la victoire : «Nous avons connu la guerre civile. Mais nous ne nous sommes pas arrêtés là. Les Américains ont appris à vivre ensemble et le combat a porté aujourd’hui».

Pour le pasteur Jesse Jackson, la tourmente que traverse la Côte d’Ivoire n’est pas une fatalité. Elle va sortir de là. Et dans cette perspective, «l’élection du 29 novembre est extrêmement importante. Elle devra être transparente et juste». Car du fait que «la Côte d’Ivoire est un phare essentiel en Afrique de l’Ouest, cette élection aura une influence sur la situation dans la sous-région».

Le chef de l’Etat était entouré de son épouse, du ministre d’Etat Bohoun Bouabré et de Blé Goudé, président du COJEP. Le compagnon de feu pasteur Martin Luther King était accompagné de son épouse et de tous les membres de sa délégation.

Ont également pris part à cette réception, le Premier ministre Affi N’Guessan, président du FPI, l’Inspecteur général d’Etat, Sangaré Abou Dramane, l’ambassadeur Alcide Djédjé représentant permanent de la Côte d’Ivoire à l’ONU et M. Lia-Bi Douayoua président du Conseil général de Sinfra.

 

Boga Sivori

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«Elargi ou restreint ». Voilà deux mots qui ont forgé le discours du Guide libyen, Mouammar Kadhafi, lundi à Bamako, à propos du gouvernement fédéral africain. Bien avant le sommet de l’Union africaine (UA) prévu au mois de février à Addis Abeba, l’on peut dire que quelques points de consensus commencent à se dégager.

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Le falicitateur désigné de la  Communauté pour le développement de l'Afrique australe (SADC) pour le dialogue politique au Zimbabwe a exprimé son désarroi face au  penchant du parti de l'opposition, le Mouvement pour le changement démocratique-Tsvangirai (MDC-T), pour les puissances occidentales  au mépris des dirigeants et des institutions africains, a rapporté vendredi le journal The Herald.  

     Mbeki a estimé que le parti de Tsvangirai avait utilisé un  langage "insultant" dans sa critique des dirigeants de la SADC. Il a déclaré que le MDC-T doit "prendre ses responsabilités pour  l'avenir du Zimbabwe, au lieu de voir sa mission comme un militant anti-Mugabe et de la ZANU-PF".

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Le Président Gbagbo part aujourd’hui au Qatar au sommet de Doha. Il situe les enjeux de ce sommet et invite l’Afrique à se prendre en charge. Avant de s’envoler, cette nuit, pour le Sommet de Doha, le Chef de l’État définit ses attentes et sa vision.

Le Président Gbagbo part aujourd’hui au Qatar au sommet de Doha. Il situe les enjeux de ce sommet et invite l’Afrique à se prendre en charge.

Monsieur le Président, vous vous rendez aujourd’hui même au sommet de Doha au Qatar. Pouvez-vous situer en quelques mots les enjeux de cette rencontre internationale?
C’est une réunion initiée par les Nations unies pour faire le point sur ce qu’on appelle le consensus de Monterrey.

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