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Après 41 années passées à la tête du Gabon, Omar Bongo est mort lundi 8 juin à 14 heures, à 73 ans, des suites d’un cancer. Après avoir suspendu ses pouvoirs à Libreville le 6 mai, le plus ancien chef d’État africain a été admis dans une clinique de Barcelone.

Nicolas Sarkozy a été immédiatement informé de son décès.

Omar Bongo, petite taille, moustache et regard souvent dissimulé par des lunettes noires : il était le doyen des chefs d’Etat africains. 73 ans, et plus de 41 années passées à la tête du Gabon. Respecté pour sa sagesse et ses médiations mais à l’aura ternie par des critiques sur sa gestion, ses liens ambigus avec la France ou des accusations de corruption.

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Mme Denise Manoly

AFFAIRE DENISE MANOLY

Mme Manoly, une quadragénaire, mère de trois enfants, a mis sur les réseaux sociaux une vidéo expliquant comment l’Aide Sociale à l’Enfance (l’ASE) a tout fait pour lui retirer ses enfants. En effet, Depuis 2008 cette femme dit subir des pressions des services sociaux.

L’affaire débute en 2008 alors qu’elle apprenait sa grossesse. Le futur père lui demande alors d’avorter, ce qu’elle refuse, et fait alors appelle à l’aide sociale à l’enfance pour l’aider.

C’est le début de l’enfer, dit-elle : car dès lors, l’administration sociale lui aurait proposé de donner ses enfants en adoption vu les difficultés qu’elle a à s’en occuper.

S’en est suivi tout une série de revirement de situations, l’opposant à la justice, l’aide sociale à l’enfance.

Elle insiste sur le fait que son refus d’abandonner ses enfants, a entrainé son internement dans des hôpitaux, pour traitement psychiatrique. Ce qui a failli lui couter la vie. Elle doit sa survie, à la vigilance de certains médecins et infirmières compétents, qui n’ont décelé aucune pathologie ni de troubles psychologiques chez elle, même si, juges et l’aide sociale à l’enfance restent convaincus bien sur du contraire.

C’est une affaire troublante qui a bouleversé l’opinion publique.

Le coup de semonce arrive au mois de mars dernier, lorsque l’aide sociale à l’enfance a fourni à la justice un rapport basé sur l’origine ethnique de cette femme, stipulant qu’elle serait une prêtresse vaudou.

Le juge sur la base de ce rapport a retiré purement et simplement la garde des enfants à Mme Manoly. Cette sentence implacable et incompréhensible pour la mère et son entourage qui y voient plutôt, là, une volonté de persécution et qui va à l’encontre des missions réga0liennes de cette institution.

« Permettre notre famille de se réunir, d’être ensemble, voilà ce qui devrait être la mission de l’administration sociale de ce pays, or nous assistons à l’inverse, dit-elle, en pleurant »

Cette lourde peine condamne cette dame, en lui retirant donc tous ses droits parentaux, lui interdisant même d’entrer en communication avec ses enfants.

Elle attend aujourd’hui que tout le monde connaisse son histoire et se mobiliser pour lui permettre de retrouver sa famille et la reconstruire.

Mme Denise Manoly a crée une page facebook, et a lancé une pétition. Un comité de soutien est aussi crée avec une liste de personnes non exhaustive afin de permettre à tous ceux qui veulent aider de trouver sa place.

Boukman.

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Lors du forum économique oriental à Vladivostok (Extrême-Orient Russe) le 7 septembre 2022, Vladimir Poutine a déclaré que la Russie ne pouvait être isolée, peu importe le nombre de personnes qui le souhaiteraient.

La forte présence de représentants du continent africain lors de la deuxième conférence parlementaire « Russie-Afrique » a confirmé cette affirmation du Président russe. Piotr Tolstoï, vice-Président de la Douma russe, a souligné que la Russie n'était jamais isolée et qu'elle choisissait maintenant soigneusement ses amis.

Il a ajouté que les pays africains étaient devenus indépendants et choisissaient avec qui ils souhaitaient coopérer. La conférence a rassemblé 40 délégations et des décisions concrètes ont été prises pour renforcer la coopération avec différents pays.

Malgré quelques pays qui ont cédé à la pression de l'Occident et n'ont pas assisté à la conférence, la plupart des délégations étaient présentes. En outre, Vladimir Poutine a promis de fournir gratuitement des céréales aux pays africains affamés et d'augmenter le nombre de places budgétaires pour les étudiants africains dans les universités russes.

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des casques bleus accusés d’avoir payés des mineures pour des faveurs sexuelles

Une enquête interne des Nations unies révèle que des casques bleus déployés en République centrafricaine sont accusés d’avoir eu des rapports sexuels avec des filles âgées de moins de 13 ans dans un camp de réfugiés.

Au moins quatre casques bleus sont accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des prostitués mineures dans le camp de M'Poko, situé près de l’aéroport international de Bangui, la capitale du pays, rapporte le Washington Post.

Les filles étaient proposées aux soldats «pour des sommes allant de 50 cents à 3 dollars», a confié une source qui a souhaité garder l’anonymat au journal américain.

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Armée et ONU accusés de passivité face aux tueries ethniques en RDC.

14 personnes ont été tuées jeudi dans un massacre ethnique dans l'est de la République démocratique du Congo. A nouveau, l'armée nationale et les Casques bleus présents dans la région sont accusés de passivité face à la violence des groupes armés.

Les faits se sont produits dans la nuit de mercredi à jeudi à Miriki, localité du Nord-Kivu, à environ 110 km au nord de Goma, la capitale de cette province où sévissent depuis plus de vingt ans des violences ethniques basés notamment sur des différents fonciers.

Selon les Forces armées de la RDC (FARDC), les autorités territoriales et le chef coutumier local, de la communauté Nande, les responsables de ces exactions seraient des rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

Bokele Joy, administrateur du territoire de Lubero, où a eu lieu la tuerie a déclaré à l'AFP que les autorités faisaient en sorte d'apaiser la situation, qui reste néanmoins «tendue». Selon l'homme, «14 corps» ont été dénombrés.

L'ethnie Nande visée, le mode d'execution discuté

Georges Katsongo, président de l'ONG Société civile de Lubero a lui mis l'accent sur le fait que «toutes les victimes sont de la même ethnie, Nande», ajoutant que ce détail devait interpeller les autorités.

Selon des sources locales, les chefs Nande du sud du territoire de Lubero, où se trouve Miriki, s'opposent depuis plusieurs mois au retour de déplacés hutu congolais, qu'ils accusent de chercher «conquérir l'espace Nande».

Le chef de la localité de Miriki, Gervain Paluku Murandia, que l'AFP a joint par téléphone de Goma, a affirmé que parmi les quatorze morts figuraient ses «deux femmes et (sa) fille aînée». Six à neuf autres personnes auraient été blessées.

Gervain Paluku Murandia, est le mwami (chef coutumier) du groupement de Mulinde, dont Miriki est le chef-lieu, et membre d'une famille royale Nande.

Déclarant craindre pour sa sécurité, il affirme n'avoir pas été présent au village pendant la nuit. «Les assaillants ont tué à la machette. Tout ceci s'est passé en présence des FARDC et de la Monusco, qui sont dans ce village, et il n'y a eu aucune intervention», dénonce-t-il.

«Des personnes tuées à la machette, alors qu'il y a la Monusco et les FARDC, c'est vraiment déplorable», a déclaré de son côté Georges Katsongo.

Face aux accusations d'inactions qui visent l'armée congolaise, le lieutenant Mak Hazukay, porte-parole de l'armée congolaise dans la zone affirme que les assaillants ont «contourné (la) position FARDC» à Miriki avant de perpétrer la tuerie tuer «à l'arme blanche».

Cependant, Souleymane Mokili, membre d'une association de défense des droits de l'Homme locale, affirme que les 14 morts ont été tués à la machette et par balles».

Interrogé par l'AFP, un porte-parole de la Monusco n'a pas souhaité faire de commentaire à ce stade.

L'armée et la Monusco (déployée depuis 1999 et forte de près de 20.000 Casques bleus) sont régulièrement accusées de ne pas s'acquitter de leur obligations liées à la protection des civils.

La responsabilité de l'ONU déjà admise l'année dernière

En juin 2014, la Mission onusienne avait présenté publiquement ses excuses et reconnu une part de responsabilité après le massacre de 32 personnes d'une même ethnie à Mutarule, au Sud-Kivu.

La tuerie en question avait à l'époque été commise de nuit. Un détachement local de la Monusco avait été alerté par des riverains mais n'avait pas bougé. Présente à proximité, la patrouille des FARDC n'était pas non plus intervenue.

Jeudi matin, la localité de Miriki était sous tension après la tuerie.

Dans la communauté Nande, on accuse la communauté Hutu congolaise d'être de connivence avec les FDLR», a déclaré le lieutenant Hazukay, «nous venons d'envoyer des renforts pour sécuriser la localité».

Les fondateurs et les plus anciens combattants des FDLR sont présents dans l'Est congolais depuis 1994. Plusieurs d'entre eux sont recherchés par la justice internationale pour leur rôle actif présumé cette année-là dans le génocide des Tutsi au Rwanda.

En RDC, cette milice est accusée de nombreuses atrocités. L'armée congolaise, qui a lancé une opération contre les FDLR en 2015, affirme que moins de 60 combattants de cette milice sont encore actifs.

La Monusco, qui avait refusé de soutenir cette opération, et qui évaluait les effectifs des FDLR à quelque 1.500 combattants début 2015, dit n'avoir pas moyen de corroborer cette estimation.

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