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En Haïti des qu’on parle de Brésil, on se refere au football, au roi Pele ou au carnaval de Rio, qui constitue une merveille artistique et culturelle. Si vrai que le gouvernement a utilise la sélection brésilienne de football, le 18 août 2004, pour jouer un match qualifie « Pour la paix » contre la sélection haïtienne de football, dans sa croisade de gagner les cœurs et les esprits des haïtiens. Ce jour la fut un tourment aux patriotes haïtiens qui ont vu nos compatriotes applaudir les joueurs brésiliens au détriment de nos nationaux. Et, pour nous crucifier d’avantage, joueurs et dirigeants se sont rendus en république voisine pour y passer la nuit, cela signifie que nous ne sommes pas digne d’honorer l’hospitalité des vedettes brésiliennes. Passons !

« Assurer la sécurité publique, c’est veiller a ce que nul ne soit tue ou ne soit victime d’une forme quelconque de violence ».

 

 

Amnestie internationale

 

 

En Haïti des qu’on parle de Brésil, on se refere au football, au roi Pele ou au carnaval de Rio, qui constitue une merveille artistique et culturelle. Si vrai que le gouvernement a utilise la sélection brésilienne de football, le 18 août 2004, pour jouer un match qualifie « Pour la paix » contre la sélection haïtienne de football, dans sa croisade de gagner les cœurs et les esprits des haïtiens. Ce jour la fut un tourment aux patriotes haïtiens qui ont vu nos compatriotes applaudir les joueurs brésiliens au détriment de nos nationaux. Et, pour nous crucifier d’avantage, joueurs et dirigeants se sont rendus en république voisine pour y passer la nuit, cela signifie que nous ne sommes pas digne d’honorer l’hospitalité des vedettes brésiliennes. Passons !

 

Et pourtant, d’un point de vue géopolitique et stratégique, la réalité brésilienne est radicalement différente et est guidée par l’engouement a étendre son influence sur les autres pays de la région.

 

C’est un processus normal, les empires comme les systèmes ont pris naissance dans « Le sang et la sueur ». La domination n’a pas de cœur, même si les unes sont plus féroces que les autres, toutes sont basées sur le besoin impérieux d’hégémonie pour pouvoir piller les richesses des autres au profit de leurs peuples, castes ou tribus Dans ce contexte du 21e siècle, ou la complexité du monde élargi est plus difficile a gérer, le jeu des alliances est plus important que jamais. Il y a trop de convulsions dans le monde, trop de feux a éteindre, trop de peuples sont en ébullition…il faut d’autres partenaires, moins puissants certes, mais capable de s’imposer dans des conflits a faible intensité pour sauvegarder les intérêts des plus puissants. Ainsi s’est amené le Brésil.

Les Etats-Unis et la France n’ont pas fait choix du Brésil par hasard. Ils connaissent ses ambitions impériales de deuxième maître de l’hémisphère du point de vue économique, son obsession a entrer dans le cercle sacre du conseil de sécurité, son expérience dans la répression et le meurtre, et d’étendre la production et la culture brésilienne un peu partout dans la région. Lorsqu’ils ont sollicite son service, ils savent pertinemment que le président Da Silva Lula ne pouvait résister a cette proposition, pour cela il faut sacrifier les liens et convictions idéologiques afin de remplir sa carte de conquête. Ainsi, les américains, canadiens et français ont légué au pays des favelas( bidonvilles) le mal d’apprenti tuteur, eux trop occupes a combattre les autres convulsions du monde.

 

PROGRESSISTES HAITIENS ATTENTION !

 

Certains progressistes haïtiens se laissent piéger par la logique de proximités idéologiques en gardant un silence complice face a l’agression brésilienne contre Haïti, qui est un viole du premier chapitre de la doctrine de monde libre, l’autodétermination des peuples. L’occupation d’Haïti est assurée par l’armée brésilienne avec 1200 hommes et de quelques dizaines de policiers qui, deliberement fusillent les pauvres et couchent nos femmes avec appétit. Ce comportement est digne de tout occupant, donc l’état brésilien n’est pas un état progressiste, au contraire il est prédataire et exécute les sales besognes de l’impérialisme.

Apres le départ de Jean-claude Duvalier en 1986, ceux qui ont contribue a la perpétuation du régime par la terreur et la torture ont été devenus gênants. Albert Pierre, allias « Ti boule », le tristement célèbre tortionnaire, a été invite a s’embarquer au Brésil, un état qui n’a signe aucun traite d’extradition avec Haïti. « Ti boule » est reste la sans être inquiète jusqu'à sa mort tranquille, sans pouvoir rendre des comptes de ces crimes odieux et établis. Donc, il y a des antécédents non règles entre les deux états qui méritent a ce que des chercheurs jettent un coup d’œil afin de dévoiler s’il n’existe aucun rancœur historique de l’état brésilien contre Haïti. Dans ce nouveau rôle de policier, Brésil est il moralement compétent a jouer ce rôle ?

BRESIL EST IL MORALEMENT APTE A STABILISER HAITI ?

Brésil n’a pas été épargne malheureusement, comme ce fut le cas du Venezuela, au caudillisme des années de 1970 et 1980. Le peuple brésilien a connu la dictature militaire féroce comme nous autres d’Haïti. Mais contrairement a nous , Lula n’a pas aboli l’armée ni même l’épuré, et voilà qu’en vingt cinq ans cette armée répressive se propulse sur le plan international comme gardienne de la démocratie et de la stabilité. Je me demande au nom de quelle morale que cette mission est attribuée a l’armée brésilienne si ce n’est celle de l’ironie.

 

 

L’amnistie internationale a poursuivi pour dire que : « Le fait d’avoir la peau noire est un facteur de risques supplémentaires », la police brésilienne est raciste et explique pleinement les interventions assassines des forces armées brésiliennes dans les quartiers pauvres, tels que cite soleil, bel-air etc. .L’amnistie internationale a défini comme suit comment assurer la sécurité publique dans un pays : « Assurer la sécurité publique, c’est veiller a ce que nul ne soit tue ou ne soit victime d’une forme quelconque de violence ». Les forces publiques brésiliennes ont a leurs actifs de nombreux cas de massacre dans leurs propres pays, ainsi le 31 mars 2005, « 29 personnes ont été tuées a Baixada Fluminense(…) d’hommes armes appartenant a la police militaire…entre 8 :30 et 11 heures, ouvrant le feu aux passants »

 

 

Massacre de prisonniers sans armes a la prison carandiu, a Sao Paulo en 1992.

 

Des enfants qui dormaient sur les marches de cathédrale de Candaleria en 1993 ont été liquides.

 

 

Donc, les deuils que sèment les forces d’occupation en Haïti, dominées fortement par le Brésil, font partie d’une série de pratiques nationales transférées au sein de l’institution dirigée par un commandant Brésilien. Avec ce « Permis de tuer » délivré par le gouvernement Preval/Alexis aux occupants, a l’occasion de la fête de Noël, nous devons nous attendre au pire en matière de crimes délibères.

 

PRESIDENT LULA, EST IL CONSCIENT DE SON ROLE DE BOURREAU ?

D’après un analyste haïtien, Mr Camille Chalmers, « des 20 membres de l’état-major de la Minustah, il y a à peine deux Sud-américains. Les autres sont états-uniens, français, italiens et canadiens », propos rapportes dans RISAL. Même si apparemment le Brésil semble en contrôle de la situation, mais dans les coulisses l’alliance amercicano-franco-canadienne a le vrai contrôle. On a légué aux soldats latinos le rôle répressif des pauvres .J’ai l’impression que les ambitions de Lula le rendent aveugle, cet état de fait peut porter le président brésilien a commettre des crimes odieux, comme c’est le cas d’Haïti aujourd’hui.

La position des patriotes haïtiens doit être ferme et sans ambages face au comportement agressif des forces d’occupation, car nous représentons le dernier carre des indigènes. Qu’il s’agit d’américains, de français, de canadiens ou de n’importe quel peuple, des qu’ils traversent nos frontières, n’ont d’autres objectifs que nous subordonner. Notre devoir de peuple conscient, est de les combattre jusqu'à ce qu’ils partent.

Ce sont les intérêts nationaux brésiliens qu’ils défendent en Haïti, ils sont prêts a tout pour cela, ceci est valable aussi aux autres états présents au sein de la MINUSTAH. Il faut remarquer qu’il n’y a pas de forces vénézuéliennes ou cubaines en Haïti, cela dit que Lula(Brésil), Michelle Bachelet(Chili) , Nestor(Argentine) et autres états pourraient refuser l’offre. S’ils décident d’être en Haïti, ils ne sont rien d’autres que des occupants. Ils contribuent tous a humilier notre peuple, notre grandeur historique et notre culture, donc ils ne sont pas des amis. Lula a préfère d’obéir les appels américains, canadiens et français que ceux du peuple haïtien qui résistent héroïquement contre l’occupation.

Ils sont arrogants au même titre que tout envahisseur. Le général sortant qui a commande les troupes de la MiNUSTAH, est tellement confortable dans son apparat d’occupant tuteur, qu’il a exige a ce qu’on revienne avec les forces armées d’Haïti, jadis dissoute. C’est un calcul sur mesure qu’a fait le gouvernement brésilien. L’armée d’Haïti qui s’était transformée en parti politique a été l’œuvre de l’occupation américaine de 19 ans, son rôle a été de poursuivre l’occupation longtemps après le départ des marines. Le Brésil qui a le commandement des troupes de la MINUSTAH, souhaite avoir cette même responsabilité de créer une armée nationale en vue de maintenir un contrôle substantiel sur l’ensemble des institutions nationales par l’intermédiaire de sa structure militaire laissée dans le pays.

En conclusion, tous les pays latino-américains qui font partie de la force d’occupation en Haïti ne font que défendre leurs intérêts nationaux au détriment de notre dignité de peuple, notre grandeur historique et culture. Brésil, pays qui a la commande des troupes, répond a ses ambitions geo-stratégiques, mais qui vit sur le plan interne une situation de violence plus dramatique que celle d’Haïti. Progressistes haïtiens, toute occupation conduit nécessairement a l’humiliation, il n’y a pas de bons occupants, ils sont tous mauvais et massacreurs . L’essentiel il faut combattre l’occupation du pays jusqu'au départ des derniers soldats étrangers.

JOEL LEON

 

 

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philadelphia

 

journaliste

 

Les policiers de Sao Paulo et Janeiro appuyés par l’armée ont tue pour la seule année 2003, 2110 personnes, qu’ils ont qualifie de légitime défense.

 

 

« Au Brésil, le nombre des homicides est l’un des plus élevés au monde », 17 millions d’armes légères circulent au Brésil, 9 millions sont détenues en toute illégalité.

 

Des habitants d’une favela (bidonville) de vigario, les militants de droits de la terre en 1997 a Eldorado dos Carajas, tues.

 

Rappelez-vous que j’avais mentionne le caractère répressif du Brésil, qui a joue beaucoup dans son choix comme le nouveau maître d’Haïti. Dans un document publie en 2005 par l’amnistie internationale, Brésil a affiche 52.2 homicides pour chaque 100.000 jeunes, tandis que les Etats-Unis ont 32.2 homicides sur 100.000 et l’Italie 2.1 homicide pour chaque 100.000 jeunes. Cela dit que ce pays est beaucoup plus malade qu’Haïti en matière de sécurité publique, par contre le Brésil est choisi comme chef de mission de stabilisation en Haïti.

 

La mission du Brésil de Lula est de stabiliser Haïti. En termes non diplomatiques, Brésil doit jouer un rôle de police. Les revers enregistres en Somalie dans les années 1994-95 et l’enlisement irakien et afghan sont top actuels pour qu’on s’aventure dans une autre démêlée ou des noirs s’affrontent sans merci. Dasilva Lula s’est abuse des liens culturels serres unissant les deux peuples, d’Haïti et du Brésil, pour mettre en application sa politique conquérante.

 

La façon la plus simple de définir l’impérialisme est : « Celui qui cherche a étendre son autorité sur d’autres » ( notamment plus petit). Le Brésil, avec sa présence militaire en Haïti est entre dans une phase ou c’est nécessaire de faire des victimes afin de protéger son statu de puissance regionale, avec 40% de l’économie sud-américaine sous contrôle.

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