Plusieurs personnes pensent que la logique de défendre nos intérêts kémites s’enferme dans une perspective d’attouchement de leurs claviers numériques.
D’autres laissent en orbite autour de leur téléviseur ce qui leur servent d’yeux hypnotisés par ces innommables marchands de cauchemars.
Pendant que tout le monde s’affaire dans leur morbide occupation, télégénique et numérique , Kemi Seba accompagné des dignes se sont rendu au commissariat de IVeme arrondissement de Paris pour demander des comptes sur l’agissement de ces milices juives Racistes, infectes et nauséabond qui continue à agresser en toute impunité les noirs de ce pays. Il est bond ton de discussion, mais lorsque l’on frappe les siens ces mêmes discussions aussi constructives quelles soient deviennent stériles.
En ce sens, les actions entreprises par cette nouvelle génération, GENERATION KEMI SEBA va déclencher un renouveau dans le paysage français, à savoir la politique par l’action. Les Kémites, les noirs et tous les antisionistes de ce pays doivent savoir que les héritiers d’Esdras, n’ont que faire de leurs pseudos jérémiades car ce qui comptes c’est l’action.
Il suffit simplement de voir comment ils retranscrivent les informations nous concernant, pour mesurer l’intérêt qu’ils nous portent, ces Esdratiens.
C’est ainsi que le Nouvel observateur parle de Kemi Seba et l’affaire rue des rosiers.
"Lassé de la protection et de l’impunité dont jouissent les milices racistes juives du Betar et de la LDJ, nous avons décidé d’aller chercher nous-mêmes ces criminels", précise le communiqué.
De source policière, les manifestants étaient "25 environs". Ils seraient repartis sans incident notable.
Stellio Capochichi, alias Kémi Seba, avait été condamné en septembre 2006, par le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris, à la fermeture de son précédent site internet, en raison de son contenu "antisémite". La Tribu Ka avait été dissoute le 29 juillet par décret gouvernemental.
Agression présumée raciste
L'annonce de Kémi Seba fait suite à la mise en examen, jeudi soir, de deux jeunes hommes pour une agression présumée raciste, commise dimanche dernier contre deux éboueurs d'origine africaine au cœur du quartier juif historique du Marais à Paris.
De source judiciaire, les deux hommes ont été laissés en liberté, sous contrôle judiciaire.
Ils sont poursuivis pour "violences volontaires sans incapacité totale de travail supérieure à huit jours, avec arme, en raison de l'appartenance réelle ou supposée à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée". Ils sont également poursuivis pour l'agression de deux autres personnes qui s'étaient interposées, mais sans la circonstance aggravante de "racisme".
Deux autres suspects, interpellés dans le cadre de cette affaire, ont été entendus sous le statut de "témoin assisté".
Les quatre hommes sont âgés de 18 à 22 ans.
A coups de tabourets
Selon une source policière, les deux éboueurs effectuaient leur tournée dimanche, rue des Rosiers, quand un homme a pris à partie le chauffeur du camion en faisant référence à son physique. Le chauffeur est descendu pour demander des explications. Plusieurs personnes sont alors intervenues pour soutenir l'auteur de l'agression. Certains ont frappé les deux éboueurs avec les tabourets d'une terrasse voisine.
Bertrand Delanoë, le maire de Paris, avait qualifié cette agression de "raciste".
source : nouvel observateur
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