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LA HAYE - L'audience de confirmation des charges pesant contre l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, prévue à partir de lundi devant la Cour pénale internationale, a été reportée à une date qui n'a pas été fixée, a annoncé mardi la CPI.

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Protestation face aux graves accusations de France 24 suite aux tueries dans l’ouest de la côte d’ivoire

Le vendredi 8 juin 2012, plusieurs casques bleus de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) , des éléments FRCI ainsi que des civils ont été tués dans l’ouest de la Côte d’Ivoire.

Au moment où nous nous inclinions devant la dépouille de toutes ces victimes, nous constatons une fois de plus, que des journalistes de la chaine de télévision publique française « France 24 » accusent sans preuves, le Président Laurent GBAGBO, avant même qu’une enquête n’ait été menée pour déterminer les circonstances exactes de ces tueries.

Cet incident ignoble que nous condamnons, est le premier du genre contre les soldats de l’ONUCI depuis 2003.

Relatant ces faits, Monsieur Stanislas DAHICHIMIYE, correspondant de cette chaîne et son confrère de New York, ont attribué ces tueries au Président GBAGBO en affirmant clairement que:« plusieurs attaques ont été menées dans l’ouest de la Côte d’Ivoire par des miliciens pro-GBAGBO »…

Devant ces propos d’une inqualifiable légèreté et graves de conséquences, nous marquons une vive protestation.

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Communiqué du Porte-parole du Président Laurent GbagboObjet :


Clarifications à la suite de l’entretien, d’Alassane Ouattara sur RFICe dimanche 20 mai 2012, interrogé sur Radio France Internationale RFI par Mr Alain Foka, Monsieur Alassane Ouattara, Chef d’Etat ivoirien, s’est livré à un exercice périlleux, en falsifiant délibérément comme à son habitude l’Histoire récente de la Côte d’ivoire, en particulier sur les deux points suivants :


1/ Il a affirmé que l’aide reçue de la France, après son installation dans les conditions que l’on sait, avait principalement servi à payer les arriérés des salaires des fonctionnaires, arriérés accumulés trois mois durant par le gouvernement du président Laurent Gbagbo pendant la crise post-électorale. C’est une énorme contre-vérité, que des milliers de fonctionnaires payés en temps et en heure pendant cette période pourront aisément confirmer. A ce propos, il faut aussi rappeler que les salaires de la fin du mois de mars 2011 étaient déjà positionnés sur les comptes des fonctionnaires quand les éléments de l’armée privée de de Monsieur Ouattara sont arrivés sur Abidjan.En avançant délibérément une telle contrevérité, Monsieur Ouattara tente plutôt de justifier auprès de son bailleur de fonds, la France, l’utilisation des fonds d’urgence reçus à la suite de son installation au pouvoir. Il semble craindre, à juste titre, un audit, par les nouvelles autorités françaises de l’usage de ces fonds surtout que le gouvernement sortant aurait déjà engagé une mission de contrôle au niveau du cabinet du Premier Ministre, François Fillon. Cette grave contrevérité a le mérite de nous donner raison lorsque que nous avons demandé un audit de ces prêts dans l’intérêt du contribuable français et ivoirien. En effet, la précipitation et l’opacité qui ont entouré ce prêt nous faisaient craindre qu’il fût soit utilisé pour payer les nombreux mercenaires recrutés par M. Ouattara pour faire sa guerre, soit retourné en France sous forme de rétro-commissions à la veille d’une année électorale. Plus que jamais cette demande demeure d’actualité après les propos tenus par le Chef de l’Etat ivoirien.


2/ Monsieur Ouattara s’est dit satisfait d’avoir fait transférer le président Gbagbo à la CPI, au motif qu’en tant que « Chef des Armées » il était « responsable de plus de 3000 morts » pendant la crise post-électorale. Cette affirmation est fausse quant à l’imputabilité des trois « milles morts, chiffres jamais étayés par une preuve ou un début de preuve), au Président Laurent GBAGBO a néanmoins, le mérite également de ressortir au grand jour une évidence que l’on tente maladroitement de nier.
Pendant la crise post-électorale le président GBAGBO, constitutionnellement déclaré élu, a dû défendre la souveraineté de la Côte d’Ivoire tout en ne cessant pas d’appeler à la raison pour régler pacifiquement ce qui n’aurait jamais du être autre chose qu’un contentieux électoral.Dans le même temps, Monsieur Ouattara, avec l’aide de puissances étrangères et au mépris des lois internationales (embargo sur les armes, par exemple), a levé une véritable armée privée, dont il a dit prendre la tête le 17 mars 2011, par « ordonnance présidentielle » depuis l’Hôtel du Golf à Abidjan. C’est cette armée qui a commis les pires exactions, en particulier dans l’Ouest du pays où fut perpétré le massacre de Duékoué (plus de 1000 personnes assassinées en une seule journée). De même il est de notoriété publique aujourd’hui, de l’aveu même de ses soldats, que Monsieur Ouattara était l’auteur principal de la tentative de Coup d’Etat du 19 septembre 2002 qui s’est transformée en rébellion armée. Cette rébellion est à l’origine de la situation actuelle en Côte d’Ivoire et porte la responsabilité de milliers de morts, blessés et disparus, de 2002 à aujourd’hui.Dans ces conditions la véritable place de Monsieur Ouattara est à la CPI, en lieu et place du président Laurent Gbagbo.


Plus d’un an après la rupture de l’Ordre Constitutionnel en Côte d’Ivoire par des forces étrangères, le pays est toujours dans l’instabilité politique, économique et sociale et le « régime » de Monsieur Ouattara montre ses vraies limites.


Les Droits de l’Homme sont quotidiennement bafoués, les libertés publiques menacées et les dirigeants actuels ne montrent aucun signe de bonne volonté pour amener le pays dans la voie de l’apaisement, du dialogue et de la réconciliation.


C’est tout le combat politique du président Gbagbo qui lutte depuis des décennies pour que la Côte d’Ivoire se développe dans le respect de l’ordre démocratique sans lequel aucune société ne peut prospérer.Aujourd’hui la Côte d’Ivoire et l’Afrique ont besoin, plus que jamais, de la sagesse du président Gbagbo. C’est ce que les autorités des « grandes puissances » doivent rapidement reconnaitre. L’injustice faite au Peuple ivoirien et au Président GBAGBO ne peut continuellement prospérer.
Pour le Porte-parole du Président Laurent Gbagbo,


Le Ministre Lazare KOFFI KOFFI

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 LES FAITS

 

Le mercredi 18 janvier 2012 devait avoir lieu la cérémonie de dédicace du livre « Côte d’Ivoire : Le traquenard électoral » de M. Charles Blé Goudé, au Baron de Yopougon, à Abidjan. Sortis nombreux pour enfin lire les  écrits-vérités de celui qui est désormais devenu un opposant politique en exil forcé, les Ivoiriens n’ont pu satisfaire leur curiosité. Plusieurs détachements des fameux soldats FRCI, de l’ONUCI et le commissaire du District de Yopougon, invités-surprises, ont intimé l’ordre aux organisateurs, au conférencier de même qu’aux vrais invités de vider les lieux. Ainsi en a décidé le pouvoir « démocratique » de la nouvelle Côte d’Ivoire. Selon ce régime, l’auteur de l’œuvre étant persona non grata en Côte d’Ivoire, car visé par un mandat d’arrêt international, la cérémonie de dédicace ne peut se tenir. Face à la grogne de la foule et à l’atmosphère de plus en plus électrique, Dr Augustin Guehoun, conférencier du jour, a conseillé, par sagesse, aux invités et aux militants et sympathisants de retourner calmement à la maison. Frustrés mais dignes, les Ivoiriens se sont résolus à observer cette recommandation dans la discipline.

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Mes chers compatriotes,

Dans l’histoire de la Côte-D’ivoire de ces dix dernières années, plusieurs dates sont à marquer en rouge dans notre calendrier : 18 Septembre 2002, 9 novembre 2004, octobre-novembre 2010, 11 avril 2011 et depuis hier soir, le 29 novembre 2011.

Un an tout juste après la fin du second tour qui allait faire basculer la Côte d’Ivoire dans une crise post-électorale sans précédent, par la faute de ceux qui ont décidé de tordre le cou à la vérité, en manipulant les résultats du scrutin

présidentiel d’octobre 2010. Leur stratégie diabolique arrive à son terme : Le Président, Laurent Gbagbo, le père du « asseyons-nous et discutons », le père du dialogue direct, le seul président reconnu par la constitution ivoirienne, est

transféré à la Cour Pénale Internationale.

De quoi l’accusent-ils ? De crimes économiques et de crimes contre l’humanité ? C’est vraiment le monde à l’envers. De qui se moque-t-on ? De nous les ivoiriens ou de notre histoire ?

Si un véritable crime doit être jugé, n’est ce pas cette usurpation de pouvoir ? Et encore pourquoi ne serait-il pas accompagné des autres protagonistes de la crise ivoirienne, actuellement en place à la tête de l’état et reconnus

formellement comme auteurs de plusieurs crimes pré et post électoraux.

Est-ce encore la continuité de la justice des vainqueurs ? La CPI se fait-elle complice de cette justice à deux vitesses ?

Comme beaucoup d’entre vous, cette nouvelle me touche particulièrement. Leur point d’achèvement est la Haye, mais sachez que depuis 2002, ces manigances tentent de le renverser.

Mes chers compatriotes, Ne soyez pas impatients.

D’ici quelques jours, dans un livre vérité et témoignage, intitulé : Côte- d’Ivoire : le traquenard électoral, je vous dirai tout ce que vous devez savoir et que l’on tente de vous cacher. Publié aux éditions l’harmattan, il sera disponible dès le lundi 5 décembre.

Mes chers compatriotes,

Comme toujours, sous nos yeux, ils tentent de falsifier notre propre histoire. N’ayez crainte. Quand la vie vous met à terre, vous avez le choix entre vous coucher ou vous mettre debout. Le transfert de Laurent Gbagbo à la Haye, est

une raison de plus pour nous de rester debout. C’est ce que ce grand leader, victime, que l’on tente de présenter comme le bourreau, nous a enseigné. Un jour, il fera jour.

 

Le 30 novembre 2011

 

Charles Blé Goudé

Exilé Politique.

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