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Port-au-Prince, Ayiti, le 19/10/2010
De nombreuses organisations et personnalités influentes du milieu juvénile et universitaire ayitiens se sont réunies pour constituer une Plateforme connue sous le nom de PLATEFORME DE LA JEUNESSE MONTANTE. Laquelle plateforme, a pour but, de parvenir à la constitution d’un bloc homogène dans le secteur, en vue de défendre en bonne et due forme les intérêts politiques, économiques et socio-culturel de la jeunesse ayitienne.
Cette initiative rentre dans le cadre de notre volonté en tant que JEUNES à prendre part activement dans les activités :
1.visant à relever le pays qui est à genou depuis le séisme dévastateur du 12 janvier dernier.
2.visant à lever le défi du développement auquel nous sommes exposés depuis des décennies.
3.Ou initiatives, dont les engagements reposent grandement sur la jeunesse.
Cela fait longtemps que nous jeunes de ce pays, nous pratiquons la langue de bois, à travers un silence qui nous a tant causé. La décision, est qu’aujourd’hui, à l’instar du philosophe brésilien Eduardo Portella, il nous faut reboiser notre langue, pour une fois pour toute, sans manipulation aucune, ne plus tout accepter, tout avaler et tout subir comme ça l’a toujours été. Mais de participer, de prendre part et d’influencer comme ça doit les initiatives engageant l’avenir de ce pays dans lequel nous les JEUNES sommes appelés à vivre et à prendre la responsabilité dans les vingt et trente prochaines années.
Aujourd’hui, nous vivons dans une société divisée, coupée, morcelée, voire même et balkanisée. Peut-on parler d’AVENIR dans une telle réalité, sinon que, si nous ne sommes pas aveuglés, de voir que nous traçons la route de notre propre malheur ? La réalité ayitienne d’aujourd’hui est une réalité de mensonge, de tromperie, de youn ap chèche bon sou lòt… la volonté de vivre ensemble, de voir autour d’un idéal commun n’existe plus, mais celle de FUIR est opulente et très en vogue. Il implique aujourd’hui de changer la réalité, de rompre avec ce passé honteux et humiliant, ce passé dominé par les aidocrates, les kleptomanes, pour passerà un présent qui sera dominé par des hommes et femmes habités par l’esprit de service, par la volonté réel de CHANGEMENT.
Autour de la conjoncture électorale
Juridiquement, il est un droit que chacun nous avons, en tant qu’Ayitien, jouissant de ses droits civils et politiques, de vouloir parvenir à la magistrature suprême du pays ou de postuler pour n’importe quel poste électif en vue de servir, de contribuer à un quelconque changement pour le mieux-être de la population haïtienne dont la grande majorité est exposée à une misère-misérable, qui est nettement en contradiction aux fabuleux actes que nous avons posés au cours de notre parcours de peuple et de nation. Toutefois, de notre étude effectuée sur la société ayitienne de 1806 à nos jours, nous a permis de voir qu’en grande majorité, tous les malheurs d’Ayiti sont causés par ses Gouvernements ; les élections sont toujours l’affaire d’un groupe qui, au départ, réclame du peuple le pouvoir dans le but de servir celui-ci, mais qui finalement, n’ont fait que s’en servir pour se servir du peuple. A qui est alors la faute ? Aux hommes et femmes politiques ou au peuple ? Nous sommes tous responsable, mais le véritable n’est autre que LE PEUPLE qui s’est toujours, en grande majorité, déresponsabilisé vis-à-vis des affaires publiques.
Notre position
Ce ne sont pas les élections de novembre qui vont changer la réalité moribonde et honteuse dans laquelle nous vivons : celle des décombres, de la sous-alimentation, de notre misère etc. mais nous pouvons toujours, dans un esprit de promotion de la culture démocratique, nous en servir pour changer cette même réalité, mais en constituant une société civile bien organisée, intéressée au bon fonctionnement de la chose publique.
Aucun gouvernement, aucun homme politique quel qu’il soit ne peut, comme par miracle, changer notre situation de peuple. C’est à nous citoyens, citoyennes, jeunes et vieux, hommes et femmes, pauvres et riches, à qui appartient ce pays, qu’il incombe d’endosser cette responsabilité de passer à une autre réalité, qui ne fera plus de nous la nation étiquetée de plus pauvre de l’hémisphère. Parce qu’il nous faut nous réapproprier de notre dignité de peuple et de nation pour passer de la honte à la fierté, de la pauvreté à la richesse, du sous-développement au développement… Mais pour cela, nous devons nous organiser, constamment nous organiser autour d’objectifs et de responsabilités clairs allant dans le sens des intérêts collectifs.
Pour exemplifier : Si nous prenons les Etats-Unis d’Amérique en exemple, comme modèle de Démocratie, nous dirions ce n’est pas par miracle que ce pays soit encore debout, mais bien par l’organisation du peuple américain qui participe dans les activités de sa collectivité. D’après l’écrivain américain Jonathan Rauch « au niveau des Etats-Unis, tout le monde fait partie d’un groupe d’intérêt » (voir Governments’ end, why Washington stopped working, New York, Public affairs, 1994). Mais de plus, selon une étude statistique établie en 1990 par l’Association des dirigeants d’Associations « sept États-Uniens sur dix appartiennent au moins à une Association ou davantage ». Et c’est presque la même chose dans tous les pays dits développés, ainsi que les pays qui présentement sont en train d’émerger en toute puissance à la surface du globe (la Chine, la Corée du Sud, le Brésil...)
Edmond Paul a fait savoir dans son livre Les Causes de nos Malheurs : « la bête succombe quand la pâture fait défaut, ainsi meurt le charlatan quand le peuple est éclairé ». C’est dire en quelque sorte, que seul par un peuple éclairé, organisé, participant au développement de sa société et la surveillance de ses dirigeants qu’on peut assister à un développement ou à l’amélioration de notre malheureuse condition de peuple.
En conclusion : Nous pouvons toujours participer aux élections de 28 novembre prochain – et d’ailleurs c’est un devoir – mais n’espérons pas au messianisme, aux discours populistes-démagogiques, qui à la fin nous déçoivent tous. Ne croyons plus aux discours, et même pas aux programmes. Nous avons affaire à des gens qui n’ont en grande majorité aucun respect pour leur parole, qui ne respectent pas leur engagement. Celui en qui et ce dont en quoi il faut croire c’est nous le PEUPLE en notre capacité exiger des résultats envers quel que soit l’élu, à tous les niveaux. Mais cela n’est possible que si nous constituons une société civile réelle, digne de ce nom, capable d’exiger des résultats et même la démission des élus, lorsque ceux-ci sont incapables de se servir du pouvoir que nous leur transmettons, pour améliorerconvenablement la condition du peuple ayitien qui ne cesse de dégrader de jour en jour.
A la suite des propos RACISTES du parfumeur Jean Paul GUERLAIN,
qui sur le plateau du Journal télévisé de 13 heures de France2 a déclaré : « pour une fois, je me suis mis à travailler comme un nègre ; je ne sais pas si les nègres ont tellement travaillé, mais enfin… » !
- À l’heure où le pouvoir colonial veut interdire aux Guadeloupéens de parler kréyòl dans ses tribunaux à l’occasion de parodies de procès contre les militants syndicaux;
- À l’heure où notre culture est rabaissée au rang de folklore par le pouvoir en place et ses différents relais en Guadeloupe ;
… c’est de façon tout à fait naturelle et décontractée que ces propos racistes sont sortis de la « bouche » de M. GUERLAIN. Le même qui exploitait jusqu’en 2002 des nègres clandestins originaires de l’archipel des Comores sur ses Plantations de Mayotte ; avant que l’inspection du travail ne le mette en cause.
Et tout cela sans d’ailleurs susciter – comme l’a souligné la journaliste nègre Audrey PULVAR dans sa réponse à Jean Paul GUERLAIN - grande indignation du « monde politique et médiatique » en France, car exprimés dans un pays où l’exclusion, les discriminations, la répression à l’encontre des jeunes habitant les banlieues et dont les parents sont issus de l’immigration, les humiliations et vexations quotidiennes de catégories entières de la population (la stigmatisation des « Roms » en est un exemple récent), le fichage des travailleurs et le racisme sont désormais banalisés voire légitimés par le pouvoir d’Etat.
Ces propos racistes n’ont suscité aucune réaction des élus, des politiques et autres intellectuels nègres des dernières colonies françaises si prompts à servir de larbins au pouvoir.
Aussi, au-delà de la condamnation de tels propos, LKP rappelle que la richesse de l’occident blanc et singulièrement de l’Etat français, s’est construite sur la traite négrière, l’esclavage et le massacre de millions de nègres, le vol et le pillage du continent africain et des colonies dont les enfants sont venus libérer la France des occupations allemandes.
LKP appelle l’ensemble des nègres et descendants de nègres, l’ensemble des communautés nègres et descendantes de nègres, à ne plus acheter un seul parfum de la marque GUERLAIN pou yo komansé arété méprizé nou; et s’opposer par tous moyens, avec la plus grande détermination aux brimades, aux propos et aux remarques racistes ou xénophobes.
Ces atteintes à la dignité se multiplient à tous les niveaux, dans les stades, au travail, dans la vie quotidienne. Sans réaction, la banalisation de ces actes laisseront la porte ouverte à toutes les dérives comme cela s’est déjà produit en France et ailleurs.
Il faut en finir avec ces clichés coloniaux, racistes et esclavagistes répandus et entretenus dans les esprits européens depuis des siècles.
☥ KIMIA BANTANTU ☥Digne Combattant de la Renaissance de notre Peuple... Te voici devenu un Ancêtre Bienfaiteur et Bienfaisant... Puissions-nous Honorer Dignement ta Mémoire et ton Œuvre... Gloire à Toi Cher Ndeko, pour l'Éternité dans nos Cœurs ♥♥♥L’Organisation S...HOMARI a le regret de vous annoncer le décès de Kuba Bantantu Landry, Responsable de l’Education au sein de notre Organisation Africaine-Karaïbéenne.
Une trentaine de Chefs d'Etat et de Gouvernement d'Afrique et du monde participe le samedi 3 avril 2010 à Dakar inauguration du Monument de la Renaissance Africaine.
Situé sur l'une des 2 collines des mamelles qui surplombe l'ouest de la capitale sénégalaise, cette statue en cuivre est une sculpture monumentale d'une cinquantaine de mètres représentant un couple et son enfant faisant face à l'océan atlantique.
Ce monument se dresse à la fois comme un souvenir des différentes souffrances que l'histoire a imposées aux peuples noirs et un défi que l'Afrique d'aujourd'hui et sa diaspora lancent à leur intégration aux différents progrès du monde contemporain.
Initié par le Président de la République du Sénégal, Maître Abdoulaye WADE, le Monument de la Renaissance Africaine est soutenu par l'Union Africaine et son érection portée par les Présidents Thabo MBEKI d'Afrique du Sud, Olusegun OBASANJO du Nigéria....
A la fois symbolique, culturel, touristique et économique, le Monument a pour ambition de s'intégrer dans la galaxie des grands monuments du monde tels que la Tour Eiffel à Paris, la statue de la liberté à New York ou encore le Christ Rédempteur à Rio de Janero.
Son inauguration donnera lieu à de grandes festivités qui seront prolongées par la célébration le 4 avril du cinquantenaire de l'Indépendance du Sénégal.
« A toute la jeunesse africaine, terreau fertile des espérances surgies de l'Union africaine, j'ai voulu montrer qu'il existe en Afrique assez de ressources spirituelles, intellectuelles et morales pour sous-tendre notre volonté d'édifier une nation forte, démocratique et prospère. » Abdoulaye Wade.
Programme des activités:
Concours international de poésie sur le thème de la Renaissance africaine
Colloque international sur la Renaissance africaine
Séances de projection de films sur l'Afrique et la diaspora
Grand concert de musique animé par des vedettes d'Afrique
Exposition de photos sur « Coiffures et Costumes africains traditionnels »
Vernissage de l'exposition sur les Grandes figures du Panafricanisme et de la Résistance.
Présentation d'extraits de la pièce de théâtre « Tragédie du Roi Christophe » suivie d'un spectacle sons et lumières
Animation Culturelle Théâtre National Daniel Sorano
Hymne de la Renaissance africaine
Feu d'artifice
Retraite aux flambeaux
Sabar INFORMATIONS PRATIQUES
Dates
Festivités du vendredi 2 avril au lundi 5 avril 2010
Samedi 3 avril 2010 à 9 h Colloque international sur la Renaissance Africaine au Méridien à Dakar
Samedi 3 avril 2010 à 15 heures Inauguration du Monument de la Renaissance africaine sur le site du Monument
Dimanche 4 avril 2010 > Commémoration des 50 ans dâindépendance de la République du Sénégal : Défilé sur le Boulevard du Centenaire
Lundi 5 avril 2010 > Grand Sabar
Lieu Ville de Dakar, Sénégal
Contact
Alassane Cissé, presse nationale et continentale africaine au +221 77 515 18 80
Le Panafricanisme est une idéologie politique de libération totale de l'Afrique, forgée par des Filles et Fils de déportés africains et repris par des africains.
Où qu'il se trouve, le Panafricain est l'afro-descendant qui lutte contre toutes les formes d'oppression et d'exploitation de l'Afrique afin que cette dernière puisse vivre dignement dans l'unité, la liberté et la fraternité.
Son refus de la déportation, de l'esclavage, de la colonisation, de la ségrégation, de l'apartheid fait de lui un véritable humaniste en cela qu'il appelle à la fierté de soi et au respect des peuples.
La conscience historique et politique liée aux péripéties qu'a connu l'Afrique permet ainsi à l'homme et à la femme noir d'être des acteurs à part entière dans la lutte pour la libération des peuples opprimés.
Le 1er Sommet de la jeunesse d'Afrique et des Caraïbes sur le néo-Panafricanisme se réunira à Paris pour faire le point sur le panafricanisme et ce qu'il doit être aujourd'hui, en considérant les enjeux internationaux actuels.
Où qu'ils se trouvent, l'homme et la femme noir sont liés à l'image ne serait-ce que médiatique, d'une Afrique immature, en guerre, et en perpétuelle mendicité.
A qui profite cette propagande si ce n'est qu'aux ennemis de l'Afrique ?
Souvenons nous : « L'arbre ne s'élève vers le ciel qu'en plongeant ses racines dans la terre nourricière ».
Le néo-Panafricanisme a de beau jour devant lui, en cela qu'il insuffle un nouvel élan au Panafricanisme sur la base des enjeux de l'heure.
Le 1er Sommet sur le néo-Panafricanisme invite la jeunesse Africaine et Afro-Caraïbéenne, aussi bien du continent que de la diaspora, à penser, à dire et à agir comme un seul homme au quotidien et dans l'intérêt de la Terre Mère, afin d'abattre le néo-colonialisme dans toutes ses formes.
Aujourd'hui comme hier, le panafricanisme prône le retour définitif à nous-mêmes, ce qui précède à la libération politique du continent.
Autrement dit, le néo-Panafricanisme prépare l'avènement des Etats africains véritablement libres, et ce, en vue de la construction d'un État fédéral, afin que l'homme et la femme nègre, qu'ils soient en Martinique ou en Jamaïque puissent circuler librement sur la terre de leurs ancêtres.
Un même peuple, un même destin : libérer la Terre Mère du néo-colonialisme.
L'Afrique aux Africains.
Programme du Sommet :
1. Les promesses du Panafricanisme des Pères Fondateurs.
2. Le néo-Panafricanisme : l'engagement d'aujourd'hui.