Offcanvas Section

You can publish whatever you want in the Offcanvas Section. It can be any module or particle.

By default, the available module positions are offcanvas-a and offcanvas-b but you can add as many module positions as you want from the Layout Manager.

You can also add the hidden-phone module class suffix to your modules so they do not appear in the Offcanvas Section when the site is loaded on a mobile device.

Un pasteur ivoirien détenu par les services secrets français. Comment l’opération a été montée

(L'Inter 06/09/2007)

 

Pour étendre ses activités et aider ses frères des territoires d’outre-mer, l’évangéliste Marc Déhi a implanté, il y a à peine un an, une succursale des établissements Gédéon » dans les Antilles et Guyane françaises.

 

C’était l’erreur impardonnable qu’il ne fallait pas commettre. Surtout qu’en moins de vingt (20) mois, la société de placement d’argent « Gédéon » connaît dans les territoires d’outre mer un succès phénoménal, avec un chiffre d’affaire annuel de 4 milliards d’euro qui met pratiquement sous l’éteignoir les banques françaises évoluant sur les mêmes marchés financiers.

Il n’en fallait pas plus pour que l’homme de Dieu, appelé aussi « le pasteur des pauvres » dans les rues de la Guadeloupe soit la cible des autorités françaises qui ne pouvaient tolérer, dans cette partie du monde, une autre logique et une autre autorité que celles qu’elles se sont efforcées d’imposer aux colonisés pendant des décennies.

Add a comment

kamayiti genocide des noirsDR pour death row, "couloir de la mort". Deux initiales inscrites au marqueur noir sur le pantalon blanc de Kenneth Foster. Deux lettres indélébiles qui rappellent comme s'il en était besoin que la phase du compte à rebours a commencé. Depuis mai, ce jeune détenu de 30 ans sait que les autorités texanes ont fixé le jour de son exécution pour le 30 août, un jeudi, vers 18 heures. Une date, une heure comme programmées presque dix ans, jour pour jour, après avoir été condamné à la peine capitale par un tribunal de San Antonio non pas pour avoir tué quelqu'un mais pour n'avoir, d'après les jurés, ni prévu ni anticipé un crime et avoir pris la fuite au volant d'une voiture avec l'assassin. Add a comment

  Add a comment

Le président d’Afrique du Sud Thabo M’beki a voulu connaître le point de vue des scientifiques dissidents qui n’acceptent pas les thèses officielles concernant le sida. Il s’est intéressé au point de vue de ceux qui ne croient pas que le virus HIV soit la seule cause du sida. Le président M’beki a écrit à Messieurs Kofi Annan, Tony Blair, Jacques Chirac et autres présidents des pays riches.

«Nous ne voulons pas nous-mêmes condamner à mort notre peuple en renonçant à chercher des solutions au problème du sida en Afrique. J’explique tout cela car notre recherche de solutions spécifiques et ciblées a été violemment critiquée par certaines personnes dans notre pays et ailleurs dans le monde … Je suis extrêmement préoccupé par certains éléments de cette campagne de dénigrements. On laisse entendre par exemple que certains scientifiques sont «dangereux et discrédités» et que nous ne devrions ni communiquer, ni travailler avec eux. À une autre époque de l’histoire humaine, ils auraient été condamnés au bûcher comme hérétiques!»

 «Il n’y a pas si longtemps, dans notre propre pays, des gens furent torturés, incarcérés, privés de leur liberté d’expression, parce que les autorités en place estimaient que leurs opinions étaient dangereuses et discréditées. On nous demande aujourd’hui de faire exactement la même chose que la dictature raciste de l’apartheid que nous avons combattue. Tout cela au nom d’un consensus scientifique partagé par la majorité et qu’il est interdit de remettre en question. Parmi les scientifiques que nous devrions mettre en quarantaine, il y a des Prix Nobel, des membres de l’Académie des Sciences, des professeurs émérites de diverses disciplines médicales. Des «scientifiques» exigent, au nom de la science que nous figions le débat scientifique sur les questions du sida et du virus HIV au point précis atteint par ce débat en 1984, en Occident. Des gens qui, en d’autres circonstances, mettraient leur pensée et leur parole à défendre les droits sacrés de la liberté de pensée et de parole sont, dès qu’il s’agit de la question du sida et du HIV, à la tête de ceux qui veulent, par l’intimidation et la menace, terroriser l’expression intellectuelle. Ils en viennent à soutenir, que la seule liberté que nous ayons, c’est d’accepter ce qu’ils ont décrété être la vérité scientifique officielle!»

«Certains s’agitent dans cette affaire avec une passion qui relève du fanatisme religieux et qui est vraiment effrayante. Le jour pourrait ne pas être loin où l’on verrait à nouveau les livres détruits par le feu et leurs auteurs condamnés au bûcher par ceux qui se croient appelés à une sainte Croisade contre les infidèles. Il est vraiment extraordinaire que nous tous, semblions être prêts à servir la cause des fanatiques en décidant de ne rien faire et d’attendre! Il se peut que ces propos soient excessifs. S’ils le sont, c’est parce que, dans un passé récent, nous avons dû voir, de nos propres yeux, le vrai visage de la dictature!» Heureusement aujourd’hui de plus en plus de voix s’élèvent contre ce que nous pourrions nommer la dictature de la science officielle. Le docteur Marc Deru affirme à propos du sida en Afrique : «C’est une erreur fondamentale de croire que la guérison du sida en Afrique exige des traitements antiviraux. Ces traitements seraient un désastre supplémentaire car ils ruineraient davantage encore le système immunitaire de ces malades. Leur immunodéficience, en effet, provient tout simplement des carences, infections et parasites, ainsi que des guerres civiles et des funestes conséquences de la mondialisation et des plans d’ajustements structurels imposés par le FMI qui les ont réduits à la misère».

 En conclusion d’une étude de la California State University, le professeur Charles Geshekter disait quant à lui : «La prétendue épidémie africaine de sida a été utilisée pour justifier la médicalisation à outrance de la misère en Afrique sub-saharienne. C’est ainsi que l’aide médicale occidentale a pris la forme d’expérimentation de vaccins, d’essais de médicaments, de pressions moralisantes. Les responsables de la santé publique devraient reconnaître que ce sont la malnutrition, les conditions sanitaires déficientes, l’anémie et les infections endémiques qui sont à l’origine des symptômes cliniques du sida et non le virus HIV». Vous ne lirez pas ces propos dans les journaux classiques mais il existe des sites internet qui permettent d’accéder à ces informations. Ainsi, Mark Griffiths, un des pionniers de la dissidence du sida, a élaboré un site très bien documenté sur ce sujet.

http://perso.wanadoo.fr/sidasante voir aussi www.sidasante.com. Ces sites sont reliés aux sites américains qui contestent les dogmes du sida présentés par la presse et la médecine officielle.

Add a comment

LE PRÉSIDENT THABO MBEKI ET LE SIDA EN AFRIQUE • «Des «scientifiques» exigent, au nom de la science que nous figions le débat scientifique sur les questions du Sida et du HIV». Thabo Mbeki

Add a comment