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En mai 1967, des ouvriers du bâtiment de Guadeloupe mènent une grève pour obtenir une augmentation de salaire et la parité en matière de droits sociaux. Déjà dans la matinée du 26 mai, des gendarmes mobiles auraient tiré sur des manifestations violentes de grévistes, faisant plusieurs blessés. Vers midi, une foule est rassemblée devant la Chambre de Commerce, à Pointe-à-Pitre et attend pendant que se déroulent des négociations entre organisations syndicales et représentants du patronat. Finalement les négociations sont rompues et un bruit court : le représentant du patronat, Georges Brizzard, aurait dit : « Quand les nègres auront faim, ils reprendront le travail ! ». Les affrontements commencent à coup de grenades lacrymogènes contre conques de Lambi. Les forces de l’ordre chargent, apparemment pour permettre la sortie des négociateurs, et finalement ouvrent le feu, sur ordre du préfet, provoquant notamment la mort de Jacques Nestor, militant du Groupe d’Organisation Nationale de la Guadeloupe (GONG). Selon les autorités, les gendarmes mobiles, après que quelques coups de feu aient été tirés sur eux, devaient riposter pour se dégager. Un certain nombre d’autres Guadeloupéens seront tués durant les 3 jours d’émeutes et/ou de répression qui s’ensuivent. Un bilan imprécis : L’imprécision sur le nombre des victimes, paradoxale dans un département français doté d’un état civil, serait due, selon ceux qui contestent le bilan officiel de 7 ou 8 morts, au classement "secret défense" jusqu’en 2017, des documents de l’époque, à la peur des représailles ressenties par les familles et à la destruction d’archives municipales et hospitalières. Sept noms de victimes sont cités, Jacques Nestor - Zadig Gougougnam - Pincemaille - Camille Taret - Gildas Landrée, Tidace et Fengarol. Dans un article du Monde du 26 mai 2009, ces noms sont précisés et complétés : Jacques Nestor, Ary Pincemaille, Olivier Tidas, Georges Zadigue-Gougougnan et Emmanuel Craverie pour Pointe-à-Pitre, Jules Kancel, Aimé Landres, Camille Taret pour la commune voisine des Abymes. Six noms étaient donc déjà connus : Jacques Nestor, Georges Zadigue-Gougougnan, Ary Pincemaille, Camille Taret, Olivier Tidas, Aimé Landres (au lieu de Gildas Landrée). Deux nouveaux apparaissent : Emmanuel Craverie et Jules Kancel. Un autre n’est plus dans cette liste : Fengarol.

 

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Ce fut un moment inoubliable. Féerique et haut en couleurs était cet hommage rendu à Aimé Césaire au TMO par tous. Blancs, Arabes et des Nègres debout assistaient à cette symphonie goupillée de main de maître par A2N à qui je donne la mention honorable. Contrairement à la parodie de la Sorbonne, simulacre abyssal d'hypocrisie, tout le monde est rentré la tête pleine de bulles de joie, de satisfaction.

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résumé du proces 03/05/07 à chatres contre la GKS

 

 

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