Succès énorme pour Kheperankh-street à Paris.
Nombreux sont ceux qui sont venu goûter ce succulent art de rue, la culture urbaine, dans sa plus pur tradition, et dans le respect de ses concepteurs. En effet, l’esprit d’afrika bambaata planait sur la salle pour suivre le déroulement de tous ces chorégraphies à l’ancienne. On se croirait retourner au début des années 80 ou l’on apprenait de nouveaux pas, ou chaque geste rythmait avec le son, s’enchaînant et en entraînant un autre ou une autre personne, tout cela avec la complicité du DJ, un élément phare, de cette envolée artistique.
c’est pour la quatrième année consécutive que KHEPERANKH - STREET a pris corps en plein coeur de Paris, sous la houlette de la talentueuse chorégraphe Max laure, a.k.a Nefershuank.
Un événement exceptionnel qui pendant 2 jours a ravi bon nombre de connaisseurs. En effet, les organisateurs ont voulu conserver les bases de la culture urbaine comme le faisaient les prédécesseurs de cet art.
Les participants sont donc invités à faire corps avec leur passé, à savoir le continent africain et l’esprits glorieux des anciens.
Et parmi eux, certain pensent que c’est gagné d’avance car ils sont dans leurs éléments, et voient se concrétiser devant eux un rêve. Un encadrement majestueux, des professeurs expérimentés, et de niveau international, “il n’y a plus qu’a faire maintenant” disent-ils, à savoir, faire vibrer nos sens :
- la force physique et l’agilité intellectuel (Histoire, danse synchronisée, explosion d’énergie, réflexion...).
- fusion de corps et de l’esprit (yoga pharaonique, relaxation, étirement).
Des disciplines bien choisi permettant à chacun de s’élever à la hauteur de ses espérances. et de l’avis de tous, c’est une expérience inattendue, magnifique, exceptionnelle qui mérite d’être partagé.
Faire du corp un instrument historique, et aussi un conteur d’histoire.
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