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Rwanda-Soldats-France-Arrestation-Hutus-3juillet1994-1.jpg

Existe -t-il deux Frances? celle qui amène vers le chaos? ou celle qui se concidère comme une antité du monde et qui contribue pour sa part au bien être de l'humanité.

En d'autres termes, celle dirigée par la mafia sioniste ou celle du peuple en quète de liberté?

LE JUGE BRUGUIERE se divertit et L'AFRIQUE paie les FRAIS : Cache-cache entre Paris et Kigali

Symbole de l'hégémonie d'une France qui n'entretient que des rapports de domination en Afrique, rapports où tous les coups sont permis lorsque les intérêts sont en jeux.

En demandant que le président rwandais Paul KAGAME soit traduit devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), la justice française par son juge antiterroriste Jean-Louis Bruguière, vient faire diversion dans une affaire de génocide dont la France a bien du mal à se débarrasser de l’étiquette de complice qui lui colle au corps. L’aspect diversion apparaît d’autant plus énorme et attribue un caractère grotesque à cette subite demande puisqu'elle fait irruption suite à une enquête que le Rwanda diligente pour tenter de démontrer l’implication de la France dans les massacres, laquelle implication prend de plus en plus forme à mesure que les langues se délient du côté de Kigali semble t-il. Pure coïncidence ou manœuvre politicienne ? La seconde hypothèse semble plus crédible.
Certains diront réponse du berger à la bergère : seulement le bétail est encore le peuple africain qui doit payer le prix des manigances politiciennes de la France sur le continent et de la cupidité des dirigeants africains, prêts à toutes les alliances avec la diablesse.

Afin de donner du poids à ces allégations selon le ministère de la justice du Rwanda, le juge Bruguière affirme que « Paul Kagamé, avec les membres de son état-major, avait, après les accords d’Arusha d’août 1993, conçu cette opération qu’il devait soigneusement planifier ». Il ajoute que les Forces armées rwandaises (Far) ne disposaient pas de missiles SAM 14 et SAM 16, utilisés lors de l’attentat contre l’avion présidentiel rwandais, dans lequel se trouvaient deux Français contrairement, selon lui, à l’Armée patriotique rwandaise, bras armé du Front patriotique rwandais (au pouvoir ). Résultat d’une enquête que le juge a initiée en mars 1998 suite à la mort des 2 Français qui se trouvaient dans l’avion présidentiel rwandais.

Le Rwanda ayant constitué une commission d’enquête sur le rôle présumé de la France dans le génocide, il paraît évident, avec les langues qui se délient, les témoignages à charge qui font peser les soupçons de participation de la France dans le génocide, que le juge, pour faire diversion et même contrarier les projets de cette commission, cherche à minimiser voire annihiler le rôle de la France comme c’est la tendance dès lors que son image est liée à la mort en Afrique. Le cas de la côte d’ivoire est encore frais dans les mémoires où les militaires Français ont ouvert le feu sur des jeunes africains sans défense et on connaît l’exercice de rhétorique qui a suivi ces exactions afin de nier toute implication.

Notons que le juge aurait davantage gagné en crédibilité,"impartialité" et pourquoi pas en efficacité s’il mettait aussi en exergue le fait qu’un pays qui ne fabrique pas d’armes comme le Rwanda ait pu se procurer des SAM 14 et des SAM 16 dans et pour quel but, d’autant plus qu’il n’était sous aucune menace qui nécessitait de tels armes, même si défense oblige, il faut être dans la prospective.
D’autant plus que ce n’est un secret pour personne que ces transactions ne sont nullement ignorées ni de l’Elysée ni de Matignon et dans certaines (plus de 99 %),Paris se porte d'ailleurs garant.

Le simulacre de commission d’enquête initiée en France par le 1er ministre de l’époque et dont les résultats étaient prévisibles par avance (comment peut-on être à la fois juge et partie et puis se condamner) constituait déjà un avant goût de ce que nous vivons. Quoi qu’il en soit, l’ombre de la France planera toujours derrière le génocide rwandais et seule l’histoire déterminera dans quelle proportion.

Au-delà de l’indignation que l’on éprouve une fois de plus de l’attitude de Paris toujours incapable à assumer la responsabilité de ses actes odieux en Afrique, et qui ne recule devant aucun subterfuge pour diluer celle-ci si voire ne même pas la reconnaître, c’est l’incapacité des dirigeants africains à tirer des leçons, des rapports morganatiques qu’ils entretiennent encore avec la France. Rapports de dominants à dominés, dans lesquels l’affront, l’humiliation et la trahison perpétuelle sont les éléments constants et le prix à payer est toujours supporté par le peuple africain.

Ceci est un N-ième signal à l’endroit de prébendiers africains, bras long d’une France dont le seul souci et rapport avec les Pays africains est de s’approprier les sols africains par tous les moyens, mêmes les plus odieux, quel que soit le prix de votre collaboration dans ce vol organisé depuis des lustres et peaufiné par DE GAULLE et ses différents successeurs, vos complices parisiens vous feront toujours payer le prix de votre trahison ce en vous humiliant et en profiteront pour se positionner en humanistes pour vous donner et vous faire la leçon.

http://www.100langue2bois.com/article-4647234.html

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