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L’ancien ministre ivoirien d’Etat, ministre du plan et du développement de Côte d’Ivoire, Paul Antoine Bohoun BOUABRE est décédé  vers  2 heures  ce matin de mercredi 11 janvier 2011 à Jérusalem en Israël selon une source proche du défunt.

Le ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré qui s’était réfugié suite à la crise post-électorale depuis  mars 2011 sur une île près de Jérusalem souffrait d’une insuffisance rénale qui aura eu finalement raison de lui, au moment où la polémique sur la disparition du journaliste Franco-canadien, Guy-André Kieffer refait surface, dossier dans lequel son nom serait cité et ces derniers jours accentué par la découverte d’un probable squelette du journaliste dans le village du ministre à Issia (centre ouest de la Côte d’Ivoire).

Rappelons que Paul Antoine Bohoun Bouabré qui a occupé des portefeuilles ministériels depuis l’accession de l’ex président ivoirien, Laurent Gbagbo en 2000, avait cédé son dernier poste de Ministre d’Etat, Ministre du Plan et du Développement, à l’ex Premier Ministre Aké Gilbert Marie Ngbo, le 7 décembre 2010.
La rédaction de Eventnews présente ses condoléances à la famille éplorée.


REACTIONS



ALAIN TOUSSAINT : COMMUNIQUE DE PRESSE. C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris la disparition de l’ancien Ministre d’Etat Paul-Antoine Bohoun Bouabré ce mercredi 11 janvier 2012, à 2h du matin à Jérusalem, en Israël. Il devait avoir 55 ans le 9 février prochain.

Professeur agrégé d’économie, M. Paul-Antoine Bohoun Bouabré a été ministre de l’Économie et des Finances, puis ministre du Plan et du Développement dans les gouvernements Banny, Soro I et Soro II.

M. Bohoun Bouabré a été le principal artisan du sauvetage de l’économie ivoirienne, malgré la rébellion et la rupture des relations entre la Côte d’Ivoire et les institutions financières de Bretton Woods (FMI, Banque mondiale, etc).

M. Bohoun Bouabré, le père du “budget sécurisé”, parvint à tenir les engagements intérieurs et extérieurs de l’Etat sans emprunt : paiement des fonctionnaires, revalorisation des salaires des forces de l’ordre, échéances de la dette nationale, reprise du dialogue et de la coopération avec les bailleurs de fonds, etc.

“Petit-Paul”, comme l’appelait affectueusement le Président Laurent Gbagbo, fut l’inspirateur de plusieurs réformes économiques et sociales entre 2000 et 2010. La mort de cet économiste est une perte énorme pour la Côte d’Ivoire et l’Afrique.

Je présente mes condoléances à la famille éplorée, aux dirigeants, militants et sympathisants du Front Populaire Ivoirien (FPI), aux ressortissants du département d’Issia, ainsi qu’à tous les amis et anciens collaborateurs de ce grand serviteur de l'Etat.

Toussaint Alain
Ancien Conseiller du Président Gbagbo
Président de Côte d’Ivoire Coalition



BRIGITTR KUYO : fPI FRANCE: Le Ministre d’Etat Paul Antoine BOHOUN BOUABRE, un autre compagnon, fidèle parmi les fidèles du Président GBAGBO s’en est allé, loin de sa terre natale, oui, en exil.

Dieu que je suis triste. Mon cœur est très triste, mon cœur saigne de douleur et de colère…

Trop c’est trop !!!

Camarades, au nom de tous ceux qui sont tombés : Désiré TAGRO, Tapé GAUZE, Raymond GNAN, Georges KOFFI, les dizaines de milliers d’Ivoiriens tués, et maintenant Bohoun BOUABRE ;

Au nom de nos illustres prisonniers politiques : Laurent GBAGBO, AFFFI N’Guessan, Simone GBAGBO, SANGARE Aboudrahamane, Michel GBAGBO … ;

Au nom de nos illustres exilés politiques : ASSOA Adou, KONE Katinan, DAMANA  Pickas, Blé GOUDE…;

Nous avons le devoir de continuer la lutte.

En leur nom, nous devons continuer le combat pour une Côte d’Ivoire libérée de ces prédateurs, de ces envahisseurs d’une autre époque, de ces putschistes, de ces sanguinaires, de ces génocidaires et de leurs parrains…

Camarades, la lutte continue.

Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire.

Brigitte KUYO

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Trois documents exceptionnels qui retransmettent la réalité du voyage historique des Ivoiriens à la Haye-cpi, pour apporter leur soutien moral à leur Président. Trois documents vous permettant de vous faire une idée de la détermination des Ivoiriens à mener à bien leur objectif à savoir :
 
LA LIBERATION DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO

Les Ivoiriens en séance préliminaire à la Haye-cpi : troisième partie:

http://www.kamayiti.com/kamayiti_tv/kamayiti/les-ivoiriens-en-seance-preliminaire-partie-2

Les Ivoiriens en séance préliminaire à la Haye-cpi :deuxième partie

http://www.kamayiti.com/kamayiti_tv/kamayiti/les-ivoiriens-en-seance-preliminaire-a-la-haye-cpi


Les Ivoiriens en séance préliminaire à la Haye-cpi : première partie :

http://www.kamayiti.com/kamayiti_tv/kamayiti/a-laube-de-la-haye-cpi

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Le Nouveau Courrier-24/11/2011

 

Le livre est intitulé «Côte d’Ivoire : le coup d’Etat». Il est écrit par le journaliste d’investigation Charles Onana et préfacé par l’ancien président sud-africain Thabo Mbeki. Et il apparaît d’ores et déjà comme un livre-événement, tant les révélations et les rappels utiles y sont foisonnants. Le livre contient également des documents et des courriers inédits que Charles Onana a réussi à se procurer, provenant notamment de ministres français. Déjà en vente en France, «Côte d’ivoire : le coup d’Etat» sera-t-il autorisé à la vente en Côte d’Ivoire ? Il faudrait pour cela que des libraires ou des distributeurs aient le courage de le commander… Le Nouveau Courrier publie ici des «bonnes feuilles» de ce livre. Il s’agit du témoignage du président Laurent Gbagbo, qu’il a pu faire parvenir à Charles Onana depuis sa réclusion, et qui va, à coup sûr, déranger des milieux internationaux très haut placés. Ses accusations contre l’armée française, qui a selon lui tiré sur de jeunes manifestants Ivoiriens pour les disperser ou les empêcher de rallier sa résidence, et qui a visiblement profité d’une conversation téléphonique pour le localiser dans la résidence et bombarder sa chambre, sont très claires. Elles montrent une petite partie de ce qu’il a à dire, et constituent une alerte pour tous les hommes de bonne volonté. En effet, le pouvoir Ouattara et la Sarkozie doivent absolument comprendre qu’une éventuelle élimination physique du témoin gênant de Korhogo serait lourde de conséquences pour la Côte d’Ivoire. A court, moyen et long terme.

 

Gbagbo raconte comment une bombe a atterri dans sa bibliothèque

 

«Ce sont les soldats français qui ont tout fait. Ils ont bombardé du 31 mars au 11 avril 2011. Il y a eu des bombardements sporadiques avec largage des bombes. Le ministre français de la Défense, Alain Juppé, avait manifesté le désir de parler avec moi. Mon conseiller Désiré Tagro était venu me dire que cette demande venait de monsieur Charles Millon, l’ancien ministre de la Défense du gouvernement Juppé en 1995. En fait, monsieur Millon avait été à l’université de Lyon avec moi. Tagro m’avait fait part de cette

 

demande le 10 avril 2011 à mon réveil matinal. J’étais sur le point d’aller prendre ma douche lorsque Tagro m’a informé du souhait de monsieur Juppé. Quand j’ai fini de prendre ma douche, j’ai retrouvé Tagro qui m’attendait le téléphone à l’oreille. Il était encore en communication avec monsieur Millon. Soudain, une bombe explose sur le toit de ma chambre. Millon demande alors à Tagro ce qui se passe. Tagro lui répond qu’on est en train de vouloir tuer le président. Ceux qui ont largué cette bombe ont tout détruit dans la pièce. J’avais une collection de livres d’auteurs romains et grecs traduits en français que je conservais jalousement depuis quarante ans, tous ont brûlé. Ma bibliothèque constituée depuis l’époque où j’étais étudiant est partie en fumée en quelques minutes seulement.»

 

Gbagbo explique pourquoi il a demandé à l’armée ivoirienne de ne plus se battre

 

«Le 10 avril 2011, notre informateur au ministère de la Défense à Paris nous a dit que ce jour-là, c’était 6+3. C’est-à-dire 6 hélicoptères plus 3 autres. Il faut savoir qu’auparavant, c’était uniquement trois hélicoptères qui nous bombardaient. Les snipers étaient également postés sur le toit de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire. Qui est mitoyen à ma résidence. Leur rôle essentiel était de tirer sur les jeunes Ivoiriens qui manifestaient ou s’aventuraient à sortir à proximité de ma résidence. Ainsi, lorsqu’on m’apprend que les chars français sont à Cocody, le commandant des Forces spéciales, l’officier de frégate Boniface Konan, me fait parvenir un message disant qu’il ne peut plus combattre, car les soldats sont dispersés. Le message souligne que les chars et les hélicoptères français ne cessent de tirer sur les soldats ivoiriens. Le 10 avril, j’ai dit à Konan qu’il devait cesser les combats pour ne pas faire tuer les soldats. Je ne pouvais accepter de voir mourir inutilement les dignes fils de mon pays face à des gens qui voulaient uniquement ma tête. J’ai demandé qu’on me laisse attendre sereinement le dénouement à la Résidence. Les soldats voulaient me mettre à l’abri. Mais je leur ai dit que je n’étais pas militaire mais chef de l’Etat. Ce qui m’importait le plus, c’était leur sécurité et non pas la mienne devant le feu français. A ce moment, Konan me dit la gorge serrée : «Monsieur le président, les Français ont tout détruit».

 

Gbagbo : «Ce sont les soldats français qui filmaient ma capture

 

«En fait, les Français ont encerclé la résidence et au lieu d’achever leur mission, c’est-à-dire de venir me prendre eux-mêmes, ils ont plutôt envoyé les rebelles me prendre. Je tiens tout de même à préciser qu’ils ont envoyé les rebelles m’arrêter devant les caméras. Toutes les images que vous avez reçues sont les images des soldats français. Ce sont les soldats français qui filmaient ma capture. Ils tournaient avec des caméras à la résidence et à l’hôtel du Golf. Plus tard, ils ont fait venir des journalistes français pour d’autres images de moi. Il n’y avait pas de journalistes africains tournant les images au moment de mon arrestation.»

 

La tentative de «corruption» de l’administration Obama

 

«Un sous-secrétaire d’Etat américain m’a téléphoné et m’a parlé pendant au moins une heure. Il me disait que si je partais du pouvoir, je ne serais pas poursuivi, je pourrais m’exiler avec soixante-quatre personnes de mon entourage et que tous seraient pris en charge. Quant à moi, je serais logé, nourri et blanchi, j’aurais un travail et des revenus équivalant à 2 millions de dollars, etc. Cette conversation ou plutôt ce monologue était surréaliste.

 

Il y avait un tel décalage entre ce que disait ce monsieur et la réalité que je vivais avec le peuple ivoirien que son discours était indigeste. J’ai finalement raccroché, fatigué de l’entendre pérorer sur les propositions qui m’attendaient si j’acceptais de quitter le pouvoir. Je me suis dit qu’il y avait quelque chose d’étrange dans ce discours. Quel était le sujet ? A mon avis, c’était le résultat des élections présidentielles. Ils ont tous prétendu que j’avais perdu les élections présidentielles mais le Conseil constitutionnel de mon pays a dit le contraire. J’ai demandé de recompter les voix, ils ont refusé. J’ai même proposé une commission d’enquête indépendante internationale pour examiner les faits. On a refusé. Pourtant, les données sont simples. S’il est prouvé que j’ai perdu les élections, je m’incline sans autre forme de discussion. Si j’ai gagné, je suis disposé à faire des concessions politiques pour créer un climat d’apaisement et de paix dans tout le pays. Mais pourquoi s’obstine-t-on à me faire des propositions absurdes ? Pourquoi cherche-t-on à me corrompre et à me menacer si on est convaincu que j’ai perdu les élections ?

 

Peu après ce coup de téléphone étrange, mes conseillers me disent qu’Hillary Clinton cherche à me joindre au téléphone. Je refuse de prendre la communication car je suis convaincu que je vais encore passer un moment à entendre à nouveau les mêmes propositions. Elle m’a finalement adressé un message pour me proposer je ne sais quoi. Je n’ai même pas ouvert l’enveloppe. Après Hillary Clinton, le président Obama m’a directement appelé à son tour. Une fois de plus, j’ai refusé de prendre la communication. Je ne voulais plus écouter ni entendre les discours ennuyeux et les propositions ubuesques qu’ils infligeaient à mes oreilles.»

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Selon le quotidien « Le nouveau courrier », le président ivoirien renversé a reçu aujourd'hui son mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale: L'information est confirmée par ses avocats. Il a reçu ce document de la main de la Chambre d'accusation d'un tribunal ivoirien, sur commission rogatoire de la CPI. Ce mandat d'arrêt date du 23 novembre dernier. 


Cette information a été aussi relayée pour M. Toussaint Alain, son conseiller en ces termes : « URGENT. Chers compatriotes ivoiriens, patriotes africains, l'heure est grave. Suite aux manigances de M. Ouattara, le Procureur Luis Moreno-Ocampo a délivré il y a quelques jours un mandat d'arrêt à l'encontre du Président Gbagbo. Le Gouvernement de M. Ouattara et des envoyés de la CPI sont actuellement à pied d'oeuvre à Korhogo pour tenter de faire exécuter ce mandat illégal pour transférer le président Gbagbo dans les prochaines heures à la CPI. Je vous appelle à la mobilisation afin d'empêcher, par tout moyen légal, la déportation du président Gbagbo à La Haye. Dignes filles, dignes fils de Côte d'Ivoire et d'Afrique, agissez pour sauver la paix en Côte d'Ivoire »

 Cependant, selon le quotidien « L’inter »

Le transfèrement du président ivoirien à la Cour Pénale Internationale (CPI) est loin d'être un acquis, si l'on s'en tient aux confidences de ses avocats. De sources proches de ses conseils juridiques, le président Laurent Gbagbo est déterminé à se battre envers et contre tout pour réclamer son droit constitutionnel à être jugé sur le sol ivoirien. Voici à ce propos ce que le président Gbagbo a confié récemment à ses avocats qui lui ont rendu visite dans sa résidence surveillée à Korhogo. «Le président de la République que je suis a des compte à rendre aux Ivoiriens qui m'ont élu en 2000. J'ai des comptes à rendre à mon peuple, et non à la communauté internationale et à leur justice. J'ai confiance en la justice ivoirienne. C'est elle qui doit me juger, et c'est à elle et elle seule de me condamner si je suis coupable, ou de m'acquitter si je suis déclaré innocent. Je veux que la vérité, quelle qu'elle soit, éclate en Côte d'Ivoire, dans mon pays, même si elle me dessert», a rapporté l'un de ses avocats. Selon le juriste, Laurent Gbagbo a fait le parallèle entre la situation en Libye et le cas ivoirien. «Si les Libyens ont écarté la Cour Pénale Internationale et ont décidé que Saïf El Islam (le fils de l'ex-Guide libyen Muammar Kadhafi, ndlr) soit jugé sur leur sol, pourquoi pas nous?», s'est interrogé le président.

 Sur la nécessité de le juger sur le territoire ivoirien, ses conseils juridiques ont adopté une ligne de défense nationaliste qui vante les qualités et les mérites de l'appareil judiciaire national. «La Côte d'Ivoire est un État qui a une magistrature solide. Les Ivoiriens ont confiance en leur justice et en leurs juges. Que les autorités mettent en place donc la Haute Cour de Justice, seule institution nationale devant laquelle est justiciable le président Laurent Gbagbo, et que le pouvoir laisse les magistrats travailler. Le président Laurent Gbagbo a assuré qu'il se soumettra à la décision des juges ivoiriens», mettent en avant les juristes du détenu le plus célèbre de Côte d'Ivoire. Pour l'un de ses avocats que nous avons joint hier au téléphone, la question que les Ivoiriens, et par-delà eux, les Africains et tous les défenseurs de la souveraineté des peuples devraient se poser, est la suivante: «Pourquoi M. Ouattara tient-il tant à transférer le président Gbagbo à la Cour Pénale Internationale?». Selon ce praticien du Droit, la réponse est simple. «Alassane Ouattara veut écarter le président Laurent Gbagbo du débat politique national. Il croit que si Gbagbo est transféré à la Cour Pénale Internationale, il pourra diriger la Côte d'Ivoire en roue libre. Or M. Ouattara fait une grave erreur d'appréciation, puisque le transfèrement de Gbagbo à la CPI va faire plus de mal que de bien à la Côte d'Ivoire», argue ce juriste. Selon la presse hexagonale, lors de son récent séjour à Bruxelles, le président Alassane Ouattara a rencontré «discrètement» à Paris, le Procureur de la Cour Pénale Internationale, le Magistrat argentin Luis Moreno- Ocampo pour discuter des modalités de transfèrement de Laurent Gbagbo à La Haye.

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Qu’est-ce qui s’est réellement passé en novembre 2004, dans la base militaire française, lors de l’opération Dignité de l’armée ivoirienne ? Qui a donné l’ordre de tirer ? Et pourquoi les pilotes biélorusses n’ont-ils pas été inquiétés par l’armée française, alors qu’ils avaient été arrêtés ? Sept ans après, un militaire français qui faisait partie des effectifs de la Licorne fait des révélations à couper le souffle. Pour l’instant, il ne révèle pas son identité. Mais il est prêt à témoigner devant la Commission d’enquête parlementaire sur la Côte d’Ivoire réclamée par les députés communistes et du Parti de gauche en France, si jamais elle était finalement créée. Ce qui ne serait envisageable qu’en cas de victoire d’alternance parlementaire en France durant l’année 2012, après la présidentielle qui vient. Mais Rémi (nom d’emprunt) est formel.

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