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AFRIQUE URGENT! INFO URGENTE !

 

LE TRAIN DE LA REVOLUTION AFRICAINE, LE TRAIN DE LA LIBERTE AFRICAINE, LE TRAIN DE LA FINALISATION DE L'INDEPENDANCE DE NOTRE MERE AFRIQUE...

 

Le train "Laurent Gbagbo" du Dimanche 17 Juin pour aller soutenir en masse le Président Laurent KOUDOU.GBAGBO lors de son procès qui aura lieu le Lundi 18 Juin à La Haye!

Tous ceux qui voudraient s'y rendre peuvent Payer leurs billets à 66 € Aller/Retour. Un train spécial a été réservé pour la circonstance.

 

Date limite: AVANT FIN AVRIL 2012, Auprès de OBOU ou Mme Célestine au contact suivant: 06 63 00 93 71 . Ne ratez pas le train de l'HISTOIRE DE L'AFRIQUE. Africaines, Africains, Ami(e)s de l'Afrique, le 17 juin 2012, sera un RENDEZ-VOUS avev notre HISTOIRE. Unissons-nous davantage! Citoyen du monde! Ensemble contre la domination coloniale, le néocolonialisme et le NEONAZISME incarné par NICOLA SARKOZY !

 

ENSEMBLE! pour la lutte contre l'INJUSTICE,

ENSEMBLE! contre la servitude de l'Afrique!

 

ENSEMBLE pour la LIBERTE!

 

Nota: prière assurer une très large diffusion..

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Les patriotes toujours en alerte pour leur président Laurent Gbagbo. Ce samedi 18 février, dans le froid, des militants ivoiriens et panafricain, sont venus de partout à la Haye pour lui témoigner leur soutien.


Ils viennent de toute l’Europe, comme les Pays-Bas, la France, l'Italie, la Grande-Bretagne, la Scandinavie, la Belgique. Les militants ont engagé une marche depuis l’ambassade de France en Hollande pour se rassembler par la suite  devant le centre de détention de la Cpi, à Scheveningen, le quartier où se trouve le président élu de la Côte d’Ivoire son excellence  Laurent Gbagbo. L’homme que ses adversaires disent si dangereux qu’il a fallu l’incarcérer sans procès, avant de réunir les preuves. 300 participants pour la police, 1000 pour les organisateurs, en tout cas, les Ivoiriens et les panafricains répondent présents pour soutenir celui qu’ils considèrent comme leur martyr, la seule voie pour une Afrique libre et prospère.


Brigitte Kuyo, représentante du FPI, déclare : "Aujourd'hui est une journée très spéciale pour nous. Il y a vingt ans, jour pour jour, le président Gbagbo était mis en prison par M. Alassane Ouattara après une manifestation."
Abel Naki : "Nous sommes ici pour nous souvenir de cette journée du 18 février 1992 où Ouattara, alors premier ministre de la Côte d’Ivoire, avait donné l’ordre à la police d’incarcérer Laurent Gbagbo et son fils, puis Simone Gbagbo sa femme, et de nombreux militants du Fpi de l’époque. Aujourd’hui c’est le même Ouattara qui emprisonne, et cela à un plus haut degré, le Président élu de la Côte d’ivoire, son fils, et sa femme Simone Gbagbo, le président du FPI, Affi N’guessan. On prend les mêmes et on recommence, l'histoire se répète, nous sommes ici pour nous souvenir de ce jour. On nous a dit que le président Gbagbo avait été déplacé de sa cellule jusqu`à ce côté de la prison pour pouvoir entendre notre soutien." "Nous voulons dire au président Gbagbo que nous n'arrêterons pas le combat! " , a dit Abel Naki, président du Conseil de la résistance ivoirienne (Cri).

Arrêté le 11 avril 2011 à Abidjan, M. Gbagbo, 66 ans, est soupçonné par la Cour pénale internationale (Cpi) d'être "co-auteur indirect" de crimes contre l'humanité commis par les forces de défense et de sécurité ivoirienne entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011, lors des violences ayant suivi les élections présidentielles de novembre 2010. Son refus de céder le pouvoir au “président élu”, Alassane Ouattara, avait plongé le pays dans une crise meurtrière qui avait fait 3.000 morts, selon les Nations unies.

Le 18 juin prochain, jour où Laurent Gbagbo doit être entendu par des juges pour déterminer si les charges qui pèsent contre lui seront confirmées. Plus de 5000 Africains sont attendus au CPI pour apporter leur soutien à leur leader.

Les leaders patriotes décident de taire leur divergence pour se concentrer sur l’essentiel à savoir la libération du Président Laurent Gbagbo, ainsi que tous ceux qui croupissent dans les geôles de Ouattara : parce que l’union fait la force.

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Voilà sept mois qu’Alassane Ouattara, soutenu par la « communauté internationale », est devenu le président de la Côte d’Ivoire au détriment de Laurent Gbagbo et au terme d’une crise qui aura vu le pays se déchirer. Si l’inculpation de Gbagbo par la CPI a été largement médiatisée, la situation en Côte d'Ivoire est passée sous silence. L'ordre et la tranquillité sont pourtant loin d'être revenus comme le remarque le professeur Dedy Sery. Il pointe un bilan désastreux et condamne la recolonisation du pays par la France. (IGA)

 

Alassane Ouattara est président depuis sept mois. Comment se portent les Ivoiriens ?

 

Dédi Séry. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les Ivoiriens dont la communauté internationale prétend qu’ils ont rejeté Laurent Gbagbo à l’issue du scrutin du 28 novembre 2010, regrettent ce dernier, au grand dam des soutiens extérieurs de Ouattara, le vainqueur. Ceci indique clairement que l’Occident a échoué. Et que le vrai vainqueur, c’est Laurent Gbagbo. Mais le drame de la Côte d’Ivoire est que les grands de ce monde ne peuvent pas et ne veulent nullement se déjuger, par arrogance.

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TRANSMISSION MYTHIQUE ET PAN AFRICANISME

 

 …( …) …A une série noire de l ‘humiliation et de la destruction des régimes résistants, une transmission souterraine oppose en effet, dans l’opinion panafricaine, la saga et le mythe de grandes figures, qui à travers l ‘Histoire globale de la domination, incarnent les possibles d’un autre monde à venir. Une par génération? Si je n’ai pas connu le calvaire de Lumumba, j’ai pu rencontrer – trop brièvement, Thomas Sankara trois mois avant son assassinat. Comment ne pas voir que l’arrestation, la déportation, le procès du président Laurent Gbagbo à la Haye est en train de se constituer en martyrlogue et de le faire succéder symboliquement au dernier grand héros transnational, Nelson Mandela?

 

Résistance Ivoirienne par Laurent Gbagbo Côte divoire Mandela à la Haye

 

De même faut il conceptualiser encore les formes de ce « pouvoir blanc » (quelle que soit la couleur de celui qui l’exerce… et Franz Fanon reste ici -sur les « peaux noires et masques blancs »- à lire et à relire!) à la fois médiatique et humanitaire, judiciaire et armé qui a un moment donné se coalise contre « l ‘homme à abattre ».

 

Si la « guerre idéologique » est selon Gramsci le préalable à la victoire politique, c’est donc cette construction, après la résistance à la doxa, au consensus de médias aux ordres, que l’on peut proposer.

 

N’ est ce pas, à l’heure où nous écrivons ,ce qui résulte déjà de la reconnaissance du FPI par l’ANC, Laurent Akoun re-présentant la nouvelle icône de la résistance anti coloniale, et dans le pays de Mandela, le combat des démocrates ivoiriens devant ses pairs de tout le continent?

 

Un certain mimétisme avec les formes de mobilisation pour Mandela a déjà commencé: marches, pétitions, iconographie…L’éloignement avec toute collaboration avec la xénophobie de l’extrême droite, avec la démission mollétiste de la « gauche de gouvernement », et avec l’esprit de ressentiment primaire permettront seuls les alliances transnationales voire transcontinentales qui renouent avec la tradition anticoloniale de la gauche africaine et française.

 

La dimension panafricaine semble en effet fondamentale: si le combat judiciaire a besoin de spécialistes des arènes judiciaires, une défense de rupture, plus politique, est peut être plus porteuse à terme; fragile et contestée, la Cpi est d’ autant plus sensible à la bataille de l’opinion qu’elle est justement accusée de participer à cette séculaire « guerre à l’Afrique » et à elle seule. Libérer Laurent Gbagbo serait pour elle une occasion inespérée de se refaire une virginité tiers-mondiste, dont elle a bien besoin!{hwdvs-player}id=583|width=560|height=340|tpl=playeronly{/hwdvs-player}

 

A ce stade du combat politico-médiatique, pan-africanisme et conversion de la communauté afro- américaine sont des axes encore peu explorés. Pendant ce temps, la discussion continue, à Paris, avec la gauche modérée (principalement le Ps) pour rompre avec le consensus de politique étrangère où l ‘a piégé le sarkosysme botté et casqué.

 

DE LA DESHUMANISATION VIOLENTE A LA REDEMPTION POLITIQUE

 

La lutte dans le champ médiatique a commencé, au fond, depuis 2OOO! Journaux, blogs quelques ouvrages commencent à peine à rompre le consensus officiel; médias et humanitaires sont en fait divisés, et nombre de journaux parisiens d’influence sont tenus par de pseudo « spécialistes » qui se sont déshonorés en avril, écrivant dans la duplicité vénale et la mauvaise foi : que l’on pense aux articles ouattaristes de Libération ou de l’Express, diffamatoires par ailleurs envers les intellectuels ou journalistes critiques!

 

On assiste par contre, depuis la déportation de Laurent Gbagbo à la Haye, à une étonnante inversion iconique. Selon le politologue Bertrand Badie, l’humiliation et la diabolisation des adversaires de l’Empire sont les conditions nécessaires à la violence armée et à leur chute.

 

Au texte et à l’information réfléchie s’oppose l’image traumatisante, volontairement diffusée en boucle.

Le 11 avril, Forces spéciales françaises et caméras de combat sont intimement liés, révélant la spectacularisation des relations internationales au grand jour; au delà déportation et exil intérieur des résistants, manipulations des opinions publiques fonctionnent bien avec le montage des « rébellions » et la subversion des institutions internationales: les parallèles historiques de l’ère coloniale et des « coups tordus » de la Françafrique permettent d’y repérer la marque des « services » d’agit-prop- comme ils disent- et même de distinguer les processus et lieux de prise de décision.

 

Mais ce processus de déshumanisaion peut s’inverser, et une image chasse l’autre; la présence récente de Laurent Gbagbo au tribunal de la Haye juge les faiseurs, les psychopathes occidentaux, les truqueurs des médias, bien plus que lui même . Les images honteuses de l’hôtel du Golf (l’hôtel Rwanda ou « hôtel des massacres »est bien le lieu fondateur, symbolique du sarko- ouattarisme) s’effacent devant le calme discours de celui qui est au moins pour la moitié du pays le président légitime du pays- et pour nombre de démocrates internationaux une victime politique -en attendant le procès, qui sera certainement pour lui une formidable tribune internationale.

 

Dans une dialectique très hégélienne, en demandant la libération immédiate du prisonnier politique le plus célèbre de la planète, Laurent Gbagbo, c’est notre rapport à la construction impériale et à l’arbitraire colonial que nous remettons en question. Pour eux comme pour nous, c’est du même coup de notre libération, comme Sujets non aliénés, dont il s’agit – aussi.

 

De Michel Galy

 

Côte d’ivoire, Laurent Gbagbo, Alassane Ouattara, Crise ivoirienne, Afrique, Afrique actualités,  

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Le président Ouattara vient de frapper fort sur le porte-monnaie des fonctionnaires ivoiriens. En effet, alors que ceux-ci n’ont pas connu d’avancement depuis plus de 10 ans, le gouvernement vient de décider d’une mesure d’augmentation des cotisations salariales qui passeront de 8%  à 12%  puis à 14%. Cette augmentation de 6% des cotisations sociales correspond dans les faits à une diminution réelle des salaires ainsi qu’ à un baisse du pouvoir d’achat des travailleurs.

 

Dans le même temps, le président Ouattara à décidé d’un allongement de la durée de cotisation qui passe de 55 ans à 60 ans,  soit 5 ans de plus. Quand on sait que l’espérance de vie dans ce pays est de 55 ans, il est presque certain que plus de la moitié de ceux qui cotisent à ce taux fort ne bénéficieront pas du fruit de leur cotisation.

Les partenaires sociaux n’ont ni été associés ni consultés pour l’adoption et la mise en oeuvre de cette mesure. C’est à croire que la Côte d’ivoire est gérée comme une ferme privée.

L’aspiration au bonheur après les dures années passées au travail, devient ainsi un mirage pour les travailleurs ivoiriens dont plus de la moitié ne pourra pas profiter de la retraite, puisqu’ils seront morts en activité.

 

Le président Ouattara a décidé de la fermeture de l’ université publique jusqu’en septembre 2012 ; parallèlement il a été décidé de l’orientation plus de 19000 étudiants dans les universités privées où ils devront payer 40% des frais d’inscription.

A observer des près, le président Ouattara est en pleine mise en oeuvre d’une politique d’ultralibéralisme effrayante.  C’est ce qui pousse un observateur de la vie politique ivoirienne à traiter cette politique d’ »ultralibéralisme à visage diabolique« .

 

Arsène Kouassi à Abidjan pour  ivoireinfo 

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