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La justice militaire burkinabée a émis un mandat d’arrêt international à l'encontre du président déchu pour son implication présumée dans la mort de l’ancien chef d’Etat Thomas Sankara.
Ouverte en mars 2015, l'enquête sur la mort de l'ancien dirigeant Thomas Sankara poursuit son cours. Cité à plusieurs reprises dans cette affaire sensible, M. Compaoré est désormais recherché par la justice du Burkina-Faso. «Il y a un mandat d'arrêt international contre Blaise Compaoré», selon une source proche du dossier qui veut rester anonyme. Evincé du pouvoir en 2014 après un soulèvement populaire, il est accusé d'«assassinat» et «recel de cadavre».
Pour l'heure, l'examen du corps de Thomas Sankara n'a pas permis de détecter un ADN identifiable. Les traces de balles retrouvées sur son corps témoignent néanmoins d'une liquidation préparée. «On peut simplement dire qu'au regard de ces résultats, l'état des restes ne permettaient pas au laboratoire de certifier l'existence d'ADN» sur les corps exhumés fin mai, a déclaré Me Bénéwendé Stanislas Sankara, avocat de la famille Sankara.
«Les premier et deuxième niveaux (des tests ADN) certifient des résultats qui confortent ceux de l'autopsie mais au troisième niveau, l'expertise scientifique conclut qu'il n'y a pas d'ADN détectable conformément à l'état actuel de la science», a-t-il en outre précisé à la presse.
Réfugié en Côte d'Ivoire, Blaise Compaore n'a pas pour l'heure fait de déclaration autour de cette décision.
Les militants de Boko Haram auraient tué 30 personnes et blessé plus d’une vingtaine dans des attaques contre trois villages situés dans le nord-est du pays. Selon les médias locaux, les terroristes auraient fait usage de machettes et de haches.
«La plupart des personnes tuées ont été massacrées à la machette et à la hache, et les blessés touchés alors qu'ils tentaient de s'enfuir», a déclaré le garde civil Mustapha Karimbe.
Le massacre attribué au groupe terroriste islamiste de Boko Haram a eu lieu samedi dernier, dans les villages de Warwara, Mangari et Bura-Shika. Après avoir tué une trentaine de personnes, les terroristes ont incendié les trois villages.
Les informations sur les attaques sont apparues tardivement à cause de la mauvaise qualité des télécommunications dans la région. Boko Haram avait détruit de nombreux relais il y a quelque temps.
Les trois villages incendiés se trouvent dans l’Etat de Borno, près du village natal du chef de l'armée, Tukur Yusuf Buratai.
Ce n’est pas la première fois que des villages dans le nord du pays sont la cible de raids de Boko Haram. Le 10 décembre, des militants armés de Boko Haram avaient tué 14 personnes, dont certaines avaient été décapitées, dans le village de Kamuya où vivait la mère du chef de l'armée.
D’après les estimations, Boko Haram a déjà tué cette année plus de civils que Daesh. Le Global Terrorism index (Rapport mondial sur le terrorisme) a comptabilisé 6 644 victimes de Boko Haram et 6 073 de Daesh.
Au Nigeria, l’activité de Boko Haram et sa répression ont fait au moins 17 000 morts et plus de 2,5 millions de déplacés depuis 2009.
Yahya Jammeh, dirigeant de la Gambie, a annoncé que l’Islam devenait officiellement la religion de cet Etat à majorité musulmane, mais que les autres croyances de ses citoyens seraient toujours respectées.
«En accord avec l’identité religieuse du pays et ses valeurs, je proclame que la Gambie est un Etat islamique» a annoncé le président à la télévision officielle, expliquant que «comme les musulmans sont en majorité dans le pays, la Gambie ne peut pas se permettre de poursuivre l’héritage colonial».
La population gambienne, qui compte 1,8 million d’habitants, est musulmane à 95%, mais Jammeh a assuré que la pratique des autres religions ne serait pas entravée.
En 2013, le leader du pays avait annoncé son retrait du Commonwealth, une organisation intergouvernementale composée majoritairement d’anciennes colonies britanniques, en qualifiant celle-ci de «néocoloniale».
Depuis quelques années, les relations de la Gambie avec les pays occidentaux se détériorent, malgré d'importants échanges commerciaux avec certains pays européens, comme la Grande-Bretagne. L’ancien ministre des Affaires étrangères Sidi Sanneh, devenu entretemps un dissident basé aux Etats-Unis, explique dans le journal britannique The Guardian que «dépourvu d’aide au développement en raison d’un bilan déplorable en ce qui concerne les droits de l’Homme (…), Jammeh se tourne vers le monde arabe» pour y obtenir des fonds d’aide au développement.
La Gambie rejoint donc officiellement le rang des républiques islamiques, comme l'Iran ou l'Afghanistan.
Le Président Camerounais Paul Biya s’est fendu d’un coup de gueule sur sa page facebook:
« Mes collègues Africains rendent des hommages aux morts Français mais les morts de chez nous ils s’en foutent. Vous faites honte à l’Afrique » a tweeté le président camerounais Paul Biya. Le Chef de l’Etat du Cameroun condamne les présidents africains qui n’ont jamais manifesté un soutien à l’égard du Cameroun et du Nigéria qui ont perdu plus 10.000 personnes depuis 10 ans à cause du terrorisme. Ces deux pays vivent des tensions politiques et sociales à cause de Boko Haram. Aujourd’hui des présidents africains participent à une marche de protestation en France.
Le forum Davoc s’est ouvert aujourd’hui à Paris. Sous l’impulsion du Réseau Casa-Net, plusieurs participants ont pris part à cet événement, des officiels et des associations dont Oxygene Tonga.
En cette 7ème édition, qui s’est tenue à L’hôtel MOLITOR sis au 13 Rue Nungesser et Coli dans le 16eme arrondissement à Paris, il y a eu des moments forts, avant la mise en place des travaux à proprement parler.
Cette ouverture s’est faite par plusieurs allocutions. La première a été celle de Me Serge Bakoa, Représentant de la Diaspora Camerounaise de France, ensuite, celle de Jérôme Monteu Nana le coordonnateur Exécutif de CASA-NET et du Davoc.